Retour à la maison

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Désolée pour le retard, voilà le 10e chapitre de la fanfiction. J'espère qu'il vous plaira.😘😘😘


Comme l'appartement du légiste n'était pas très loin, Hélène y alla à pied. Lorsqu'elle arriva devant la porte verte, elle regarda sa montre et vit qu'elle avait 5 minutes d'avance. Elle toqua, hors de question de sonner comme tout le monde. Le légiste devait l'attendre car il ouvrit la porte très rapidement en disant:

Balthazar: « Bonsoir mon amour. »

Hélène rougit et le légiste reprit.

Balthazar: « Comment vas-tu? »

Hélène: « Très bien. J'ai discuté avec Manon et vous en mangeant une glace avec eux. »

Balthazar: « C'est bien. Tu rentres ? Je vais préparer un encas en attendant le repas. »

Hélène: « Merci. »

Un fois installés sur le canapé, Hélène prit la parole d'une voix grave, elle redoutait la réaction du légiste:

Hélène: « J'ai oublié de te dire. Le procès de Maya, on a une date, c'est dans trois semaines. »

Balthazar: "Ok. Je vais pouvoir mettre un porte final à cette histoire. »

Hélène: « Le proc' chargé de l'affaire veut t'interroger et t'appeler à témoigner durant le procès. »

Balthazar: « J'irai. Je veux qu'elle voit qu'elle ne m'a pas touché, que je suis heureux avec toi. »

Hélène: « Elle ne pourra plus nous toucher. Bientôt, elle sera enfermée en prison pour le restant de ses jours. »

Balthazar: « Je sais. »

Il la prit dans ses bras et ils restèrent, en silence, dans les bras l'un de l'autre durant une dizaine de minutes. Hélène l'interrompit en demandant:

Hélène: « Comment tu vas? »

Balthazar: « T'as pas à t'inquiéter. Je vais parfaitement bien, mes analyses sont aussi normaux que les tiens. »

Hélène: « En tout cas, demain, tu force pas. Je sais bien que t'as hâte de reprendre le boulot mais on va éviter l'hémorragie. »

BaIthazar: « Ça risque plus rien, il ne me reste plus que deux points de suture. En ce qui concerne le boulot, c'est vrai que j'ai hâte de retourner sur le terrain. De un parce que je m'ennuie quand je suis pas sur une affaire, de deux, c'est grâce à nos boulots respectifs, qu'on s'est rencontré et que je suis tombé amoureux. »

Hélène: « Dire qu'au début, j'ai eu envie de t'étrangler. »

Balthazar: « Ah oui, j' me souviens, le cancer du sourire! »

Hélène: « Moi je m'en souviens trop bien. T'as vraiment pas été discret. »

Je t'aime tellementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant