Je t'aime tellement

Interruption

Il commença à l'embrasser mais il fut interrompu par la porte qui s'ouvrit, laissant passer le médecin.

Médecin: « Je suis désolé si je vous dérange mais je dois vérifier si vous allez bien et comment vous vous remettez de l'anesthésie. »

Hélène: « Je vais parfaitement bien. »

Médecin: « Tous mes patients me disent ça, et ils n'ont pas tous raison. Même si vous avez repris des couleurs, je préfère m'assurer que tout va bien. » (se tournant vers Balthazar) « Je vais devoir vous demander de partir. »

Balthazar (à Hélène): « Je vais nous chercher du café et je reviens. En même temps, je vais prévenir Delgado et le reste de l'équipe. »

Hélène: « Parfait, ça les rassurera. »

Le légiste partit à la machine à café et en profita pour appeler Delgado et avoir des nouvelles sur le tireur. Le flic répondit rapidement:

Delgado: « Salut Baltha, comment va Hélène? »

Balthazar: " Bien. Elle s'est réveillée et elle est en train de voir un médecin. Et toi, vous avez des nouvelles ?"

Delgado: "Les gars travaillent à une vitesse folle et ls vont m'envoyer les vidéos de caméras de surveillance d'ici quelques minutes. Je te rappelle quand j'en sais plus."

Balthazar: "Très bien, à toute à l'heure."

Il raccrocha, rangea son téléphone et attrapa les deux cafés qu'il venait de faire. Il se dirigea vers la chambre de sa capitaine. Après avoir vérifié que le médecin était parti, le légiste entra et dit à Hélène:

Balthazar: "Le serveur de café est là avec de quoi finir de te réveiller!"

Hélène: "Merci, ça va me donner la force d'appeler Manon et Hugo."

Balthazar: « Ils vont sûrement un peu paniquer au début, mais ils comprendront. »

Hélène: « J'espère juste qu'Antoine ne va pas débarquer, j'ai pas le courage de le voir. »

Balthazar (pour la faire rire) : « Avoues surtout que c'est parce que tu préfères me voir moi. »

Hélène: « Ça peut se discuter. Tu peux me passer mon téléphone ? »

Balthazar (en lui donnant): « Tiens. Tu veux que je parte le temps que tu les appelles? »

Hélène (en appuyant sur le contact de sa fille): « Bien sûr que non! »

Manon (au téléphone): « Salut maman! Comment tu vas? »

Hélène: « C'est déjà aller mieux. »

Manon (un peu paniquée): « Pourquoi ? Qu'est-ce qu 'il s'est passé ? »

Hélène: « Disons qu'on m'a tiré dessus ce matin. Mais ne t'inquiètes pas, je vais bien. »

Manon: « Je m'en fous que t'aille bien au pas, je viens quand même. T'es à quel hôpital ? »

Hélène: « À la Salpêtrière. »

Elle raccrocha et eut presque la même discussion avec son fils. Lorsqu'elle eut terminé, elle vit son (beau) légiste affichait un sourire moqueur. Elle lui demanda:

Hélène: « Qu'est-ce que t'as à me regarder comme ça ?

Balthazar: « C'est juste que ta méthode pour annoncer qu'on t'a tiré dessus est assez... »

Et voilà, la suite de la fanfiction est enfin là. Je vous promets que le prochain chapitre ne va pas tarder à arriver puisqu'il est écrit.