Chapitre 8

533 18 2
                                    

Note : Cc tout le monde, je suis enfin de retour, après deux bonne semaines de camp. Je viens juste de voir les vues et je n'y crois pas !!!! 3k de vues. Je ne m'attendais du tout pas ça. Franchement, j e vous remercie beaucoup. Bonne lecture.

Deux jours après, Lonie se rendit sur le plateau. Alors qu'elle étaient  dans les loges, sa sœur lui demanda.
- Tu es sûre que tu ne veux pas changer de rôle ?
- Non, tout ira bien...
Après avoir été relooké, Lonie fit place sur le plateau. Comme toujours, le réalisateur hurla "Action".

Après que la famille de noblesse soit parti à une fête, Monica prit le temps de nettoyer une dernière fois la demeure. Lorsqu'elle eut finit, elle se dirigea vers sa chambre ou plutôt dire l'enclot  des chevaux. Au moment où elle allait sortir par la porte  qui mène sur le jardin , elle entendit un bruit. Elle s'arrêta et se tourna, le bruit venaient de l'étage d'au  dessus, c'est à dire les chambres des enfants. Elle prit une chandelle et se dirigea sans faire de bruit au deuxième. Les marches craquèrent sous ses pieds nus. Elle tourna ensuite à gauche, la porte de la chambre de Lisa était à demi ouverte. Elle la poussa et y entra. Il n'y avait personne. Elle regarda partout, personne. Elle s'asseya sur le lit et attendit. Le bruit retentit de nouveau, elle se leva. Elle ouvrit la fenêtre du balcon, et se pencha. Le jeune homme qu'elle avait rencontré grimpait sur l'échelle. Affolé, elle chercha un endroit où se cacher. Le jeune homme arriva à l'intérieur de la chambre et demanda :
- Lisa ?
Monica ne bougea pas et ferma les yeux. Il avança de quelques pas, Monica resta figé. Il plaça sa main sur l'épaule de la servante pour qu'elle le fixe. Elle se tourna, soudainement, il l'embrassa. Surprise, elle se détacha de lui et lui une claque au visage. Étonné, il lui demanda :
- Qu'est ce qui te prend?
- Chut, je voudrais plutôt savoir pourquoi vois venez ici.
Il la regard de travers.
- Je ne suis pas votre Lisa.
Puis, elle alluma la chandelle, montrant son visage épuisé. Il resta sans voix, il regarda pars la fenêtre puis il demanda :
- Où est elle ?
- Chez leurs voisin.
- Quand rentre-t-il ?
- Je n'en ai aucune idée, elle tira en dehors de la pièce, maintenant que vous saviez qu'elle n'est plus là, vous pouvez déguerpir.
Les deux sortirent et se dirigèrent à l'entrée.  Il l'ouvrit la porte et regarda le ciel, mais bien avant de lui tourner le dos, il déposa un bisous sur la joue de la noir. Elle fut médusé après avoir eu ce contact.
- Au revoir Monica.
Et il partit en refermant la porte.

- Coupez ! C'est dans la boite !
Lonie se dirigea vers le réalisateur, elle avait pensé toute la nuit à ce qu'elle allait lui dire. Elle lui tapota l'épaule.
- Ma star ! S'exclame Hervé en la voyant. Alors, qu'en penses tu de tout ça ?
- Justement, je voulais parler.
Elle attendit quelque minutes, puis elle se lança.
- Je redonne le rôle à ma soeur  !
Tout le monde s'arrêta et la regarda étonné, y compris sa soeur et Joseph.
- Vous croyez vraiment que j'avais vraiment envie de jouer ce rôle ? Pas du tout ! Depuis plusieurs vous et votre scénario, vous vous foutez de ma gueule !

Martha s'approcha et attrapa Lonie.
- Calme toi Lonie
- Me calmer pourquoi! cria-t-elle irrité, tu veux que je me calme et que je recommence à jouer pour se putain de raciste de réalisateur  !
Hervé la toisa du regard, puis il cria :
- Tu la fermes ! Tu vas continuer ce travail mais si tu ne voudras pas !
Elle resta muette, elle regarda autour d'elle, les autres la fusillait du regard. Quand à lui, Joseph fixa Lonie ne comprenant pas ce qui vient de ce passer. Elle le regarda, les larmes au yeux, puis elle prit ses jambes à son cou et courut en dehors de cet horrible endroit .

////////////////////////////////////

Ils ont raison, peut être que je suis un monstre, quelqu'un d'étrange. Une sale noire, sans ami, ni a qui parler.

Elle referma son carnet et contempla la vue, elle s'était réfugié dans un bar, il pleuvait des cordes. Plus d'une semaine, elle n'était plus sur le tournage. Elle s'en fichait de ce que pouvait penser le réalisateur. Elle voulait être libre. Alors qu'elle dessinait sur son carnet tout en écoutant, une silhouette prit place en face d'elle. Lorsqu'elle le reconnut, elle soupira.
- Je pense que tu es venue pour répéter
- En effets tu veux bien ?
- Je n'ai pas le choix.
Les deux sortirent leur texte, Joseph commença :
- "La première fois que j'ai vu, mon cœur n'a cessé de battre, tu étais ma lumière, mon tournesol...."
Lonie se mit à rigoler, Joseph ne comprenait pas, il continuait. Lonie n'en pouvait tellement plus qu'elle frappa son poing sur la table. Il s' arrêta et finit par lui demander agacé.
- Pourquoi est-ce que tu rigoles ? C'était si mauvais que ça !
- Pas dû tout, c'est juste que depuis quand Monica était en couple avec toi et finit par te laisser tomber.
Il ouvrit grand les yeux, ahuri.
- Je me suis trompé de réplique !
Ce qui enchaîna un autre fou rire de Lonie. Joseph croisa des bras et bouda.
- Tu n'était pas si nulle que ça , dit Lonie pour le réconforter.
- Tu rigoles n'est-ce pas
- Je te rappelle que c'est toi qui m'a inspiré.
Il ne répondit pas, elle baissa la tête et continua à dessiner.
- Tu ne changeras jamais, princesse
Elle leva la tête, un sourire se dessinait sur les lèvres de Joseph.
- Toi aussi, taré.



Crazy Friend - Joseph Quinn ✓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant