Wesker

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Disclaimer : l'œuvre de résident evil, ses personnages, son univers ne m'appartiennent pas. Tout comme les photos que j'ai trouvé sur Pinterest. J'accepte de les retirer en cas de soucis bien sur :)

Avant propos :

Je tiens à souligner que cette fiction se passe effectivement dans le monde de résident évil mais qu'il ne suit pas spécialement les événements des jeux.


18h31 27 Septembre 19XX

Le monde était mal barré, il courrait totalement à sa perte. Le virus se propageait dans le monde entier. Bientôt, il en viendrait à éradiquer l'espèce humaine. Cela faisait plusieurs années à présent que Chris combattait ce fléau aux côtés de ses camarades d'armes. Jill, sa sœur Claire et Léon. Après missions sur missions ils étaient devenu un peu comme sa famille au même titre que celle qui partageait son sang. Wesker aussi était un ami fidèle à l'époque mais voilà, il les avaient trahis. Personne ne s'y était attendu, surtout pas lui.

Un supérieur avant tout, avec la tête sur les épaules. Il se souvenait l'avoir souvent taquiné avec son prénom qu'il n'affectionnait pas. Albert. Ça ne lui allait pas du tout, Chris se disait que l'appeler ainsi ne présageait vraiment pas qu'il ait autant de charisme dans le futur. A l'époque il dirigeait leur peloton d'une main de maître, avec toujours un regard étrange porté sur le blondinet de la bande. Oui, maintenant qu'il se remémorait ces années passées, il se souvenait de scènes étranges entre les deux hommes. Léon semblait quelque peu, gêné lorsque Wesker était dans le coin. Son regard si doux se durcissait d'un coup, les veines de ses poings ressortait quelque peu comme s'il rêvait de lui en coller une dans la gueule.

Pourtant, Wesker arborait toujours ce petit sourire en coin à son égard doublé d'un regard que Chris ne parvenait pas à qualifier. Un regard presque lubrique, que l'ont pouvait lancer à une danseuse de strip tease une fois la poitrine découverte. Oui ce genre là. En réfléchissant à la question, les drapeaux d'alertes flottaient carrément devant son nez. Mais le déni avait totalement masqué ses déductions. Léon, pourrait-il un jour lui demander ce qu'il en était de sa relation avec le chef ?

En route vers un laboratoire souterrain abandonné, il osait lancer des petits regards en biais vers son compagnon d'arme. Il avait tout de même gagner en musculature depuis cette époque. Pourtant il n'était pas aussi carré que lui. Il avait toujours ce visage angélique d'un jeune premier. Son corps sous son uniforme laissait deviner une musculature fine et svelte. Ce qu'il trouvait le plus sexy chez Léon c'était sa nuque sur laquelle un fin duvet flottait légèrement. Il s'imaginait parfois il glisser ses doigts, profiter de de la douceur de celui-ci. Ses cheveux avaient l'air si soyeux, comment diable faisait t'il pour garder une chevelure si ordonnée et douce.

-hm ? Tu rêve Chris ? Ça fait 5min que je te demande si on peu lancer l'opération.

Jill passe son bras sur son épaule, lui adressant au passage un petit clin d'œil. Il le sait la jeune femme en pince pour lui. Mais comment dire, aussi attirante soit-elle, il ne partageait pas ses sentiments. Chris avait du mal à l'admettre lui-même mais, la gente féminine ne l'attirait pas vraiment. Il pouvait se donner des airs de macho, faire des allusions sexuels graveleuses, tout ça n'était qu'une couverture pour ne pas dévoiler le vrai Chris Redfield.

Il préférait de loin mater le petit cul bombé du blondinet aux hanches marquées de la jeune femme. Elle mettait toujours son décolleté face à lui dans l'espoir de débloquer une envie chez Le Brun. La pauvre ne savait pas que tout cela n'était que pur perte.

-ha ouai ok va lancer l'opération. Par groupe de deux ce sera plus sûr

-parfait alors je viens avec t...

Be mine Où les histoires vivent. Découvrez maintenant