Interview

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Journaliste : bonjour à vous, aujourd'hui dans le Daily Raccon nous interviewons les protagonistes de cette fiction pour le moins déroutante. Avec nous Leon S Kennedy le personnage central.

Léon : légèrement trop central oui !

Journaliste : Chris Redfield l'homme amoureux de Léon prêt à tout mais bien sûr c'est une fiction.

Chris rougissant : oui oui ... amoureux juste dans la fiction...

Journaliste : et le grand méchant, l'homme détestable de l'histoire Albert Wesker

Wesker : salut poupée ! Comme d'habitude j'ai le mauvais rôle.

Journaliste : racontez nous un peu, comment avez-vous ressenti cet étrange récit ?

Léon : impossible ! Wesker ne pourrait même pas me toucher s'il le voulait ! Je ne suis pas aussi faible !

Wesker : ho mon cœur si je le voulais je le ferais mais je ne suis pas un violeur ! Un traitre, un scientifique fou, un monstre parfois, un sociopathe tant que tu veux mais un violeur ? Répugnant !

Chris : sociopathe c'est le mot ! Il se fout pas mal que je sois sous la douche pour venir prendre la sienne par exemple !

Wesker : quoi ? Tu n'aimes pas que je te montre à quoi tu pourrais ressembler si tu t'entraînais un peu plus ?

Chris : bien sûr que non Wesker ! Te voir à poil m'intéresse pas !

Journaliste rougissante : hm .. heu je vois... Mr Albert Wesk..

Wesker : je te coupe poupée ! Si jamais tu prononces encore une fois ce prénom de merde je te coupe en dés... en toute amitié bien sûr !

Journaliste terrifiée : ... oui, je ... je ne le dirai plus. Mr Wesker dans ce récit nous apprenons que vous êtes fasciné voire obsédé par Mr Kennedy, qu'en est-il réellement ?

Wesker qui lance un regard suggestif à Léon : ho oui je pourrais être fasciné par ce fessier et cette petite gueule d'ange que je vois facilement dans ma tête me sucer la bite !

Léon choqué : dans ... dans tes rêves gros pervers ! Je suce la bite de personne !

Chris qui marmonne : faut essayer avant de rejeter ...

Wesker : tsss avec ta gueule d'ange c'est sur que tu attire plus les mecs que les nanas ! Si un jour tu as envie d'un homme un vrai je te ferais grimper aux rideaux !

Léon : va t'astiquer l'asticot tout seul et m'emmerde pas

Wesker : ce que tu es excitant ! J'ai déjà une demi-mole !

Chris : HEY ! De toute manière il ne veux pas d'un type comme toi ! Ose même pas l'approcher !

Wesker : ça va le chien de garde ! Je te l'ai déjà dis ! Je ne viole personne ! Ce n'est pas ma came !

Journaliste qui tente de s'imposer timidement : d'ailleurs Mr Redfield on apprend ici que vous avez des sentiments profonds pour Mr Kennedy quant est-il en vérité ?

Chris qui rougit de nouveau : ho heu... nous sommes amis ! J'aime passer du temps avec Kennedy et ...

Wesker qui ricane : regardez moi ça ...

Chris émettant un long soupire : quoi encore ?

Wesker : ça se vois comme le nez au milieu de la figure, tu es raide dingue de la blondinette !

Léon qui envoie un doigt d'honneur à Wesker pour le « blondinette ».

Chris : que... quoi ? Mais tu vas la fermer oui ?

Wesker qui passe ses bras derrière sa tête : aucun argument ? Ça veut tout dire ça !

Chris : et alors ? Si j'ai de véritable sentiments pour lui, qu'est-ce que ça fait ?

Léon : ça fait que je suis en face de toi et que j'entends tout ... au cas où vous n'aviez pas remarqué !

Wesker : depuis que j'ai lu ce récit j'avoue que Kennedy m'attire de plus en plus je risque d'être un frein à ton histoire d'amour

Chris : me cherche pas ALBERT !

Wesker qui serre les dents : toi tu vas le regretter !

Journaliste : heu... et vous Mr Kennedy vos sentiments sont-ils réciproques ?

Léon qui préfère garder le silence devant le regard plein d'espoir des deux hommes.

Journaliste : je vois ... et sinon le milkshake menthe ? J'imagine que c'est impossible que vous aimiez une telle abomination

Léon : ho ! Personne ne critique ma glace préférée !

Chris : il en boit tout le temps...

Wesker : c'est écœurant tellement il s'en gave !

Léon : je fais encore ce que je veux ! Chacun ses goûts !

Wesker : à ce stade il vaudrait mieux se racheter des papilles mon cher !

Chris : ouai je suis peu être amoureux secrètement de toi mais ça ... c'est difficile à accepter !

Léon : si tu veux sortir avec moi va falloir t'en accommoder !

Chris : c'est une proposition ? Parce que je suis prêt à faire cette concession !

Wesker : hey ! Ça va ? On vous gêne vous deux ? Léon ! Goûte à mon corps de Dieu avant de te rabattre sur du second choix !

Chris : tu sais ce qu'il te dit le second choix ?

Wesker : non quoi ?

Léon : il te dirait que Léon préfère la seconde main !

Léon se lève et va offrir un baiser digne du cinéma hollywoodien à Chris avant de le forcer à se lever pour sortir de la pièce avec lui.

Journaliste estomaquée : heu ... bien je crois que c'est la fin de cette « interview ». Un dernier mot Mr Wesker ?

Wesker qui soupire : il semblerait que demain je doive prendre ma douche avec une personne de plus ... dans l'espoir qu'elle soit assez grande.

Journaliste : mais Mr Redfield semble vous demander de ne plus venir sous la douche avec lui...

Wesker : et ? En quoi ses doléances me concernent ? D'ailleurs je vais aller leur mettre des bâtons dans les roues ! Les emmerder est une passion !

Wesker sort à son tour, un rictus taquin sur les lèvres.

Journaliste dépitée : c'est ainsi que s'achève cette interview... mouvementée ! À bientôt chers lecteurs !

Fin

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