Chapitre 10

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Buck était soulagé qu'on les accepte avec Eddie en tant que couple à la caserne, Hen ils n'avaient rien dit, mais Karen ne travaillait pas avec eux, alors qu'Eddie et lui étaient tous d'eux pompiers.

En allant chercher Christopher ensemble, Ana les avait félicité chaleureusement d'être ensemble. Elle était heureuse qu'Eddie ait accepté ses sentiments pour lui.

Le petit était heureux qu'il ait pardonné rapidement son papa car il voyait combien il était malheureux sans lui et il avait été touché quand le petit avait dit qu'il était heureux d'avoir à nouveau ses deux papas ensembles.

Ils venaient de border Christopher.

- Je vais y aller.

- Reste.

- Eddie...

Ce dernier l'enlaça puis enfouit son visage dans son cou.

- On en fera rien. Je veux juste te tenir dans mes bras et t'embrasser.

Il sourit. Il en avait envie aussi.

- Je t'en prie.

Il pencha un peu la tête sur le côté pour laisser de la place aux baisers de son brun.

- D'accord.

Il sentit les mains d'Eddie passer sous son tee-shirt.

Il se laissa amener dans la chambre du brun. Là, son haut fut enlevé puis il fut allongé sur le matelas.

- Promis, que des baisers, mais j'ai cru que je ne pourrais plus jamais profiter de ce corps.

Il sourit.

- Viens là et sans tee-shirt.

Eddie sourit à son tour puis après avoir enlevé son haut, il vint sur lui l'embrasser alors qu'il le caressa de sa nuque au bas de son dos.

Il se mordit les lèvres quand celles de son brun glissèrent le long de son corps. Il retint un gémissement quand il le sentit suçoter sa peau près de son nombril.

En le sentant descendre, il lui prit son visage entre ses mains pour l'attirer à lui et l'embrasser. Il le fit ensuite basculer pour se mettre au-dessus de lui.

- Quoi ? Nous n'avons pas dit que tu étais le seul qui puisse embrasser.

Il le vit sourire. Sourire qu'il cacha de ses lèvres.

¤¤¤

Il venait de préparer le petit déjeuner pour ses deux hommes. Il faisait la première petite vaisselle.

- Buck !

- Bonjour champion.

Il fit câlin au petit.

- Bonjour Evan.

Eddie l'embrassa.

- Bonjour toi.

- Tu as fait des crêpes ? Merci Buck.

- De rien champion.

Il apporta le jus de fruit puis le café sur la table.

Eddie prit son visage entre ses mains puis l'embrassa.

- Merci pour ce petit déjeuner.

- De rien.

¤¤¤

Ils venaient d'amener le petit à l'école, mais ils avaient pris chacun leur voiture car après la garde, Eddie devait aller chez sa abuela. Ils se suivaient. Le feu repassa au vert, ils redémarraient quand une voiture grilla le feu rouge et rentra dans la voiture d'Eddie.

- Non !

Il sortit de sa voiture et partit voir son homme. Il prit son pouls, il en avait un. Il prit son téléphone en tremblant.

- 911, quelle est votre urgence ?

- Maddie ? C'est Buck. Un connard a grillé un feu et Eddie...

- Evan, calme-toi. Je t'envoie des secours et la police. Et l'agent en question, c'est Athena. Maintenant, dis-moi comment va Eddie ?

- Il respire. Il a un pouls. Il saigne, je pense que l'arcade sourcilière est fendue. Mais et si...

- Respire.

Il entendit les sirènes. Athéna était là.

- Tiens moi au courant. Ma garde est presque fini, je te rejoindrai à l'hôpital.

- D'accord. Merci Maddie.

- Buck !

- Athéna.

- Oh bon dieu, Eddie. Que sait-il passé ?

- Lui !

Il pointa méchamment le type encore dans sa voiture entrain de rire au téléphone. Il allait vers lui, mais son amie l'arrêta.

- Reste auprès d'Eddie. Dis-moi juste ce qu'il s'est passé.

- Ce type a grillé le feu et il est rentré dans la voiture d'Eddie.

- Je m'en occupe.

Les pompiers et l'ambulance de la 125 arrivèrent. Son amie allait voir l'autre automobiliste.

Il ne se rappelait pas trop de ce qui avait suivi. Juste que son père de cœur était venu avec Michael, qu'il avait pris ses clés de voiture, puis qu'il était là, dans la salle d'attente, Bobby à ses côtés.

- Pour Monsieur Diaz ?

Il se leva pour aller voir le médecin.

- Tout va bien. Plus de peur que de grave, rassurez-vous. Rien de casser, un léger traumatisme, il n'en aura aucune séquelles. Son épaule gauche à taper la portière, mais elle n'est pas déboîtée. Mais elle lui sera sensible. Il a besoin de repos pendant au moins un mois au vu de son métier. Il pourra sortir d'ici soixante et douze heures.

- Merci. Dit son père de cœur.

- Nous pouvons le voir ? Demanda-t-il.

- Dès qu'il sera dans une chambre nous vous le ferons savoir.

- Merci.

Il soupira de soulagement, la main gauche de Bobby sur son épaule épaule droite.


Mon hommeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant