Remember me..

Chapitre 17:(THE END)

/!\Si tu aimes deux personnes,choisis la deuxième car si tu aimais vraiment la première tu ne serais pas tombé amoureux de la deuxième..../!\
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Moi et Hassan ne formions plus qu'un. J'allais bien. Je souriais pour rien.

Les jours passaient et tout allait à merveille. J'étais heureuse. Hassan était vraiment un mec en or. Il était attentionné avec moi, se souciait de mon mal. C'était mon conseillé, mon confident, mon bras droit. C'est vrai qu'en voyant les soldats en uniformes on pense surtout que c'est des mecs durs, qu'ils n'ont même pas le temps d'aimer. Mais non ! Ils cachent tout derrière une carapace.
En parlant d'uniforme, moi aussi j'en portais une. J'avais un caractère de bonhomme, mais devant Hassan c'était différent. Devant lui j'étais quelqu'un d'autre. J'étais une soldat des plus féminine. J'avais entièrement confiance en lui alors je ne voyais pas pourquoi m'amuserai-je à jouer la rude en sa compagnie. On était deux soldats amoureux, deux êtres heureux.
On se voyait dès qu'on pouvait.
Il m'apportait un grand aide pour oublier mes souffrances, l'absence de ma mère, le chagrin de mon père, le manque de Amar...il me remontait souvent le moral.

Alhamdulilaih Dieu l'a placé sur mon chemin.

(...)
-Hassan : Tu sais Mymi, c'est la première fois que j'attends pas une permission avec impatience.J'aime bien être avec toi.
-Moi : Oh c'est trop mignon.

Je souriais bêtement, ça m'avait fait trop plaisir ce qu'il m'avait dis.
Il ne voulait plus rentrer juste pour m'avoir en sa compagnie.C'était très touchant.

-Hassan : Je peux pas m'imaginer partir et te laisser seule avec tous ces mecs. Ils n'arrêtent pas de te regarder.

-Moi : T'es jaloux ?

-Hassan : Personne ne doit regarder ma femme.

(Avec un sourire laissant apparaître de magnifiques dents blanches waow *_* )
Je ne pus m'empêcher de rougir.

-Hassan : Oh ma femme rougis pas mdr.
-Moi : Moque toi de moi.

-Hassan : J'me moque pas puisque t'es la plus belle.

Il s'approchait de moi et fixait mes lèvres. Je fixais les siennent aussi et il m'embrassa.Un baiser doux que je lui rendis.

-Hassan ( en se détachant de moi ):
Si j'ai une permission, je ferai tout pour que ça soit en même temps que la tienne.

-Moi : Insh'Allah.

À la base, suite à l'inspection, nos missions devenaient plus sérieuses.
On devait prouver nos capacités en terrain.

Un jour, on signala la présence de personnes suspectes près de l'aéroport de Nouméa. On charga mon équipe et moi même d'en apprendre plus.
Après les entraînements quotidiens, on se dirigea un peu plus loin de cet endroit pour pouvoir guetter les vas et les viens.
J'étais anxieuse. J'avais peur de ce qu'il allait m'attendre, NOUS attendre. C'était la première fois que je faisais face à pareille situation.

Devrions-nous avoir à faire à des terroristes, des fauteurs de troubles, des brigands, des violeurs,...?

Je m'imaginais tout et n'importe quoi.
On se plaça dans un endroit stratégique dans lequel tout mouvement suspect était vite remarqué. Sous la chaleur du soleil, on patienta. Les alentours, on guetta. Pour que la paix, on établira. Les ennemis, on arrêtera.
Les épreuves, on surmontera.
Le monde, on changera.

Après plusieurs minutes d'observation, qui parut être des heures, on remarqua un groupe d'homme qui attira notre attention. Ils étaient tous habillés de couleurs sobres et ne bougeaient pas d'un endroit précis.