Esperanza

Action ou Vérité ?

TW: Mutilation.

PDV Esperanza

Je me réveil en sueur, je viens de faire encore un cauchemar, je sens des bras m'encerclant la taille et un souffle chaud sur la nuque, je me retourne et tombe sur Hélios entrain de dormir, cet étreinte n'est pas gênante elle est même réconfortante comme celle d'hier devant l'armoire, comme ses mains sur mes hanches pendant que je le soignais, comme son sourire et comme son regard.

Hier j'ai lâcher et j'ai une peur immense qui s'en serve contre moi.

Il va t'aider.

Mensonge, personne le peux.

Me perdant dans mes pensées je n'avais pas remarquer jusqu'à maintenant que Hélios me regarde.

- T'es flippant, psychopathe.
- C'est pas moi qui te regarder dormir il y a même pas deux seconde.
- Ferme la.

Il me sourit et ne dit plus rien, j'essaye d'enlever ses bras musclés de ma taille, mais sans succès et je l'entend rigoler.

- Lane, laisse moi me lever.
- J'aime bien t'avoir dans mes bras.
- Bordel, je vais te faire bouffer tes testicules si tu me lâche pas.
- J'en est encore besoins et peut-être que toi aussi à l'avenir.
- Beurk, non jamais je préfère passer une aprèm avec ton groupe de pote que de coucher avec toi. rigolai je.
- OK, ce week-end on sort avec les gars donc tu viens avec nous.
- OH non surtout pas.

L'arroseur arrosé.

- Alors Scott tu préfère qu'on couche ensemble ?
- Ok, Ok j'accepte de sortir ce week-end avec vous que si tu me lâche maintenant.

Aussitôt dit aussitôt fait, je m'extirpe du lit et regarde que j'ai qu'un short et qu'on vois mes cicatrices je me retourne vite pour qu'il ne voit rien, heureusement qu'hier il y avait qu'une faible lumière.

- Je les est sentis Es, je le sais, pas besoins de te cacher. Dans la nuit pour te calmer j'ai passer ma mains sur une de tes cuisses et je les est sentis. dit-il aussitôt.

Une larme coule le long de ma joue. Que pense t'il de moi maintenant ? Que je ne suis plus aussi forte qu'il le penser ? Et pourquoi j'ai les besoins de savoir ce qu'il pense de moi ?

Je me racle la gorge et me retourne pour lui faire face, je lui souris faussement.

- Arrête de faire semblant avec moi.

Il se redresse pour s'asseoir et s'appuyer contre la tête de lit.

- Je vois pas de quoi tu parle Lane.
- Es, tu na pas à avoir honte de tes cicatrices, de ton parcourt.

Je ne l'écoute pas et part direct vers mon armoire attrape le premier legging qui me viens, j'enlève aussitôt le short pour me retrouver en culotte, je plonge dans son regard.
Merde je l'es oublier l'espace d'un instant il voit maintenant jusqu'à où mes cicatrices vont et ce n'est pas finis Hélios.

- Je ne supporte pas ton regard Hélios, arrête s'il te plaît.

Je ferme aussitôt les yeux pour ne plus voir sa peine face à ma peau.