Rapidement, les mois s'enchaînèrent et arrivé en mai, dans la nuit du premier mai, la grande et fameuse bataille de Poudlard commença. Les élèves de Poudlard qui avaient plus de dix sept ans et l'Ordre du Phenix combattaient les Mangemorts qui avaient envahis le château.
Au tout début de la bataille, la t/cc se trouva près de Fred.
- Fais attention, Aglae, lui murmura t il, l'air sérieux, un air qu'elle ne lui connaissait pas
- Toi aussi. Je t'aime Fred.Ils échangèrent un regard. C'était ainsi alors qu'ils se disaient leur premier je t'aime ?
- Moi aussi.
Avec amour, la jeune femme embrassa ses lèvres, laissant leurs langues danser ensemble.
En duo avec Abigail, t/p et cette dernière combattait avec des maléfices et des sorts qui paralysaient leurs ennemis.
La nuit était là, tombée depuis quelques heures, lorsque t/n sentit son cœur se serrer comme il ne l'avait jamais fait. Il n'y avait aucune raison particulière, mais aussitôt, elle ressentit le besoin de rejoindre Fred, à cet instant, de se sentir soutenue par ses bras.
Sans comprendre pourquoi, ses jambes là guidèrent jusqu'à la Grande Salle. Elle aperçut des têtes rousses toutes rassemblées ensemble, autour d'une autre tête rousse. Elle sentait son cœur battre la chamade, mais elle n'arrivait pas à comprendre ce qu'il lui arrivait.
Arrivés devant le rassemblement, elle comprit enfin qui était la personne au milieu que tous les Weasleys pleuraient. Elle ne parvint pas à réagir comme elle aurait du. Les yeux posés sur le visage de Fred, un dernier sourire aux lèvres, elle constata que son cœur s'affolait tandis que tout autour d'elle, il n'y avait plus de bruit, seulement un bourdonnement qui manquait de faire exploser ses oreilles.
Abigail arriva près d'elle, des larmes coulant le long de ses joues, et la serra dans ses bras. T/p manqua de tomber, totalement affaiblie, et laissa son amie l'enlacer, sans rien ressentir.
Molly se redressa et se tourna vers la copine de son fils défunt, attrapant sa main pour qu'elle se penche vers son corps.
T/p n'arrivait pas à détacher son regard des yeux noisettes de l'élu de son cœur, mais elle ne pleurait pas. Elle était dans un autre état de souffrance que celui des larmes. Elle était en état de choc, ne comprenant pas pourquoi il ne bougeait pas, et ne le ferai plus jamais. Elle se revit, ses doigts glissant jusqu'à la joue du rouquin, la caressa, ainsi que ses cheveux.
Elle n'eut plus conscience de rien. Elle n'osa pas s'approcher du corps de Fred, ne voulant pas accepter cette misérable réalité.
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La Poufsouffle et le Joueur - Fred Weasley - Harry Potter
Fiksi Penggemar«aussi joueur qu'elle était travailleuse, ils se complétaient parfaitement »