Chapitre 6

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Zoé

Aujourd'hui c'est le grand départ ! Je pars à LOS ANGELES ! Mais contrairement à ce que l'on pourrait penser ce n'est pas pour des vacances mais bien pour le travail. J'ai extrêmement hâte d'atterrir. Mais je suis triste d'être partis en laissant les tensions entre Enzo et moi là où elles en étaient, mais je dois prendre ces trois semaines pour prendre du recul et me focaliser sur mon nouveau job et moi.

Après avoir récupérer les clés des chambres nous sommes montés à notre étage privée avec balcon et pièce de vie commune (eh oui, rien que ça). J'ai couru voir ma chambre, j'ai défait mes valises et me suis écrouler sur mon lit, épuisée par le voyage.

Je me suis réveillée à 8h30, ça ne m'aurait pas dérangée de dormir un peu plus mais malheureusement le décalage horaire en a décidé autrement. Je me lève avec une atroce migraine et, bien sûr, je n'ai pas pensé à amener des médicaments. Mais tout ce qui m'importe ce moment-là c'est le fait que je vais enfin pouvoir manger un bon petit déjeuner typiquement américain...mon plus grand rêve !

Le seul petit problème est que, hier, trop impatiente de pouvoir enfin dormir, je n'ai pas fait attention au fait que ma chambre comportait deux chambres et je n'ai donc pas retenue par laquelle j'étais arrivée. Les deux portes sont parfaitement identiques elles ne sont juste pas placées sur le même mur. L'une est placé sur le mur qui fait face à mon lit et l'autre et à la gauche de mon lit. Et j'ai beau me creusées les méninges je ne me souviens plus par laquelle je suis arrivées ! Je n'ai plus qu'à ouvrir les portes, je ne risque rien, ce n'est pas comme si l'une d'entres elles allaient m'emmener direct vers le monde de Narnia.

Je commence alors par celle qui fait face à mon lit. J'ouvre la porte doucement avec précotions et...

Thomas !? Pourquoi est-ce que je viens de tomber nez à nez avec Thomas à moitié nue ? Et surtout, pourquoi est-ce que ma chambre donne sur la sienne ?

Je n'arrive plus à bouger, j'aimerais fuir mais je suis comme enracinée dans le sol et mon corps refuse de partir. Et j'ai fortement l'impression que c'est le cas de Thomas également.

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