Chapitre 8

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Zoé

Je ne vais pas tenir. Je sais pertinemment que je ne pourrais pas me retenir s'il fait ne serait-ce qu'un pas vers moi. Il est presque nu devant moi, le seul bout de tissus présent sur son corps est son caleçon. Vêtement qui, ne cache en rien son excitation que je remarque immédiatement et qui me fait mouiller encore plus que je ne l'étais déjà. Je scrute son corps musclé, ses abdos ressortant à la perfection, ses veines parcourant ses avant-bras. Il m'attire comme un aimant. Cela me donne envie de me blottir contre lui, de sentir son corps bouillonnant contre le mien, de caresser tout son corps du bout des doigts. J'ai envie qu'il s'approche de moi, me plaque contre le mur et m'embrasse avec passion. S'il tentait ne serait-ce qu'un pas, une caresse, je le laisserais faire. Mais je n'aurais pas la force d'aller vers lui, par peur de regretter.

- « Si tu viens à moi je ne pourrais pas te résister » dit-je d'un souffle en tremblant d'excitation.

A ce moment il fit un pas vers moi, m'attrapa par les hanches, me ramena à lui et m'embrassa de toutes ses forces. Ses lèvres dévoraient les miennes et je le laissais faire car cela faisait bien trop longtemps que l'on ne m'avait pas embrassé comme çà, trop longtemps qu'il ne m'avait pas embrassé. Ses mains caressaient tout mon corps, ses lèvres embrassaient chaque partie de ma bouche. Quand sa main se trouva entre mes deux cuisses on entendit Julie et Florian, nos collègues, nous appelez.

- « Je ne pourrais pas me retenir si tu restes ici. Va avec eux. »

Encore toute déboussolé je rejoignis mes deux amis dans le salon. J'alluma mon téléphone pour lire les informations et lire mes textos come a mon habitude, quand je reçus un message de Thomas qui disait : « Demain, même heure, même endroit, si tu ne regrettes rien et que tu en veux plus. »

NousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant