Dans le Monde d'une Femme ( pas comme les autres )

Chapitre 9: simuler

Pov Enola:

Je descends donc dans le salon, une immense pièce qui rayonne grâce aux grandes en baies vitrées qui donnent sur le jardin.

Un grand canapé de velours avec deux fauteuils de chaque côté orne au centre de la pièce. Où dessus quatre hommes sont présents : au centre du canapé mon frère, a sa droit un grand brun aussi musclé que Hulk, son visage mais particulier familier mais je ne sais pas d'où. À sa gauche le mec doit faire 1m60 je pense, il est blond et moins musclé que les autres. Et le dernier est assis nonchalamment sur un fauteuil, 1m80 je dirais, brun aux yeux marron. Il porte une chemise blanche sans les trois boutons du haut ce qui fait apparaître un serpent au centre de sa poitrine.

Ce dernier remarque ma présence. Il me regarde avec insistance et script mon corps.

Je rêve où il vient de se lécher ses lèvres sur moi ?

Je scrute la pièce mais aucune présence de Léon.

Le mec qui scripté mon corps il y a quelques minutes à arrêter mais maintenant il tire la tronche quand...

- Coucou mon ange. Chuchote une voie que je reconnais.

Je fais un bond. Tout en marmonnant salopard quand  toutes les têtes se tournent vers moi.

Merde

Je crois bien que j'ai parlé trop fort.

Mon frère s'avance rapidement vers moi et me prend dans ses bras.

- C'est magnifique les retrouvailles de famille mais moi je n'ai pas le mien. Sort Léon en plaçant c'est bras croisés sur sa poitrine.

- Tu es jaloux? Tu veux aussi un câlin? Je lui sors en fessant les yeux doux.

- Je sais pas? Dit-il en levant les yeux en l'air.

je le pris donc dans mes bras. Le manque de sa sœur doit surement l'affecter malgré qui ne le montre pas.

- Bon comment on retrouve ta sœur ? Dis-je en tapotant son torse et en reculant de ses bras qui  redemandent mon corps.

- Tu ne fais rien toi ! Réponds mon frère. Il ne faut pas qu'elle se mette en danger jefe. Rajout-il

- Je sais... Je sais... Mais elle sera quand même d'un grand besoin. Renchérit Léon.

***

Ça doit bien faire une trentaine de minutes où le groupe de garçons dont Léon est parti en réunion dans le bureau de ce dernier.

J'ai visité toutes la maison, les jardins. Là je suis dans ma chambre j'hésite franchement à aller me baigner dans la piscine avec cette chaleur.

Et puiiss...

                                                     Merde...

Je fouille le dressing et trouve un maillot de bain deux pièces noires. Je l'attrape et part l'enfiler dans la salle de bain.

Je m'habille du maillot de bain et noie une serviette en bas de ma taille.

Je descends tout en réfléchissant si j'allais finir par retour vivre chez moi.

J'ai mes chroniques à écrire...

***

Après quelques longueurs dans la piscine puis quelques très longues minutes a regardé la vue qu'offre la piscine.

La dame de tout a l'heure m'interpelle :

- Mademoiselle Rodriguez ! S'écria Marie. Marie s'occupe de toutes les tâches de la maison. Suivait moi dans votre chambre. Je dois vous préparer pour ce soir.

Avant que je ne puisse riposter, Elle tourna les talons et se dirigea vers ma chambre.

Léon m'a annonce que je vais devoir rester ici quelque temps pour "simuler" un enlèvement pour mon père.

Il m'a donc attribué une chambre qui se situe à côté de la sienne.

En rentrant dans ma chambre, je remarque une longue robe noire en satin.

- Allait donc vous laver. Je vous attends pour vous préparer. rajoute -elle.

Je ne réponds que par un signe de la tête et me dire vers la salle de bain.

Je défais le nœud de mon haut, puis laisser le bas glisser à mes pièces.

Je passe sous la douche, j'active l'eau chaude qui coule sur mon épiderme et me savonne.

Quelques minutes plus tard, je sorte de la salle de bain seulement vêtu d'une serviette en dessous de mes aisselles.

Je me place sur une chaise face à une coiffeuse et laisse Marie s'occuper de mes cheveux et de mon maquillage.

***

Sur mes épaules son glissé ses fines bretelles. La robe dessine parfaitement mes formes. Elle m'arrive en dessous de mes chevilles et une fente sur le côté monte jusqu'à mi-cuisse.

J'enfile des escarpins de la même couleur que ma robe. Mes cheveux sont lissés et tombent dans mon dos. Je suis maquillé dans les tons nudes.

Après quelques minutes à me contempler dans le miroir. J'attrape ma poche et sort de ma chambre.

Je descends les escaliers pour la troisième fois de la journée et Léon, Jack et Marie m'attendent en bas de ces derniers.

Marie contemple son travail avec ses yeux bleus brillants, mon frère fait de même.

Léon scrute l'entièreté de mon corps quand il sort :

- Enfin tu en as pris du temps. Dit-il froidement.

Je lève les yeux en l'air, alors qu'il tourne les talons et se dirige avec Jack à la porte d'entrée.