Chapitre 8 : Révélation

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Pov Enola:

Je suis réveillée par une lumière si vive et ma tête me fait terriblement mal.

Je finis par m'habituer à la lumière et remarque que je ne suis pas chez moi. Je suis assise sur un énorme lit deux places, la pièce est immense, elle est dans les tons noirs et blancs. Devant le lit je remarque une porte et une deuxième a ma droite. À ma gauche un énorme dressing fermé par une baies vitrée.

Je sors de mes pensées quand une dame d'une quarantaine d'années rentre dans la chambre par la porte de droite.

- bonjour, bien dormi ? Commence-t-elle gênée. Désolée de vous déranger M. Frederico va venir vous voir d'ici cinq minutes. Fini-t-elle.

- Euh... bonjours...Pourquoi.. et... comment je suis arrivé ici ? Répondais-je étonné d'apprendre que j'avais atterri je ne sais comment chez lui.

- il vous expliquera lui-même. Si vous avez besoin de quelques choses appelées moi, je suis en bas dans la cuisine. Je vous laisse. Me dit-elle avant de sortir de la chambre.

Mais comment j'ai bien pu atterrir chez lui comme ça ?

Qu'est que je faisais hier .

Ma mémoire est trouble.

Quand il rentre dans la chambre;

- bien dormi ? Me lance-t-il

- comment j'ai atterri chez toi ? Pourquoi je suis là ? L'interrogais-je.

- Doucement ma belle. Commence-t-il en se rapprochant de moi. J'ai rencontré un petit PROBLÈME. Dit-il agacé, puis marqua une longue pause. Avec ton chez père et tu es ici pour m'aider à le régler mon ange. Fini-t-il

- Mon père ? Étonné je suis. Mon cher père ? Encore plus .Qu'il règle ses problèmes avec toi, tout seul. Il n'a pas besoin de moi . Dis - je sur les nerfs.

- Et pourquoi donc ?

- Car pour lui une femme n'est pas assez mature pour régler des problèmes sûrement politique avec lui. Je réponds agacé

- Mon ange... tu sais ton cher père... Commene-t-il avant que je l'interrompe

- Arrêt ce n'est pas "mon cher père". Fessant les guillemets avec mes doigts. Et il y a quoi . L'interrogés- je.

- Tu dois surement savoir que ton père adore tellement les femmes qu'il leur fait des petites gâteries sans leur consentement, si tu vois ce que je veux dire mon ange...

- Je...

- C'est très beau pour un père de famille,.. un chef d'entreprise,.. un multimillionnaire ...et...un jefe de mafia espagnol...ricane-t-il

- C'est faux, tout est faux, Léon tu me fais une blague . Je le regarde droit dans les yeux quand je remarque qu'il ne rigole pas du tout.

- Et tu sais ton enfoiré de père ce qu'il a fait aussi . HEIN ? Il sent n'est pas pris au commerce de mon père, a violé, séquestre pendant plusieurs jours ma mère. Et maintenant il sent prend à ma petite soeur ! Dit-il énervé.

- Pourquoi...t'en prendre à moi, je...n'y suis pour rien. Begaillais-je.

- Ne tu en fais pas mon ange, je ne compte pas te faire tu mal. Déclara-t-il en me caressant ma joue.

Après tous ces mots.

Tout ce qui vient de me dire à propos de mon père.

Il sort de la chambre sans rien dire.

Est-ce vraie, ce que fait mon père aux femmes ?

Un mafieux espagnol ?

Le chef en plus.

Qu'il avait une entreprise sa je savais. Mais qu'il était multimillionnaire. Et il a fait vivre ma famille pendant des années dans la pauvreté .

Je me sors de mes pensées et me lève du lit.

Je me dirige vers la porte en face du lit. En l'ouvrant je remarque une grande salle de bain.

Sur ça je décide de prendre une douche.

J'allume la douche.

Laisse mes habits tombaient à mes pieds et détache mes cheveux.

J'entre dans la douche, l'eau en ébullition tombe sur mon épiderme. Mes muscles et mon corps se détendent sous la chaleur. La pièce se remplit d'un épais brouillard a cause de l'eau chaude.

Je me savonne puis coupe l'eau quand j'ai fini.

J'attache une serviette en dessous de mes essailles. Et je fais de même pour mes cheveux.

J'essuie le miroir rempli de buée avec ma main. Puis me lavent les dents.

Je sors de la salle de bain et me dirige vers le dressing. Mais quelqu'un m'interrompt dans mon lancer.

Léon !

Léon rentre dans la chambre.

- Descends en bas dans 10 minutes. Commence-t-il avant de poser ses yeux sur moi.

Il script les moindres partir de mon corps. ( Je suis toujours en serviette)

- Besoins d'un coup de main pour me mater comme ça monsieur. En agitant mes mains. Je sais que je suis belle, ironisais-je, mais on toque à une porte avant de rentrer. Rajoutais-je en le poussant en dehors de la chambre.

Je ferme donc la porte a son nez. Et repart dans le dressing.

Je m'habille d'un short court noir avec la chaleur de dehors, et j'enfile un t-shirt blanc.

Je me brosse les cheveux plus les attaches en queue de cheval.

Je me dirige donc dans le couloir et Une dizaine de portes sont présentes.

Je descends les escaliers quand je remarque...

mon frère...

assit sur le canapé du salon.

Dans le Monde d'une Femme ( pas comme les autres )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant