PAUSE 𝑆𝑒𝑢𝑙𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑠

16. La blonde

Sortis de l'hôpital avec les diagnostics.

Rosalia était bien épileptique, le médecin a fournit à Emil quelques ordonnances pour ses médicaments.

Pour ma part, j'avais pas forcément envie de faire des examens.

Mais..

~ Nan arrête je n'ai rien !

Il me porta en sac à patates avec tellement de facilité que je ne pouvais me défaire de lui.

~ BORDEL LÂCHE MOI.

Toute la salle d'attente nous regardait.

La honte ..

sûr ce je m'arrêtai de crier et acceptais tout ça.

Pour finir, je n'avais juste qu'une petite foulure je devais reposer mon pied quelques semaines pour que ça rentre dans l'ordre.

Dans la tête d'Emil.

Franchement que des guignols.

La honte qu'elle m'a fichu cette cruche.

On traversait le parking toujours Maïa sur mon dos et Rosalia dans ceux de Maxi.

- Tu sais tu n'es pas obligé de serrer mes fesses autant.

- Si tu pourrais arrêter de te plaindre deux secondes.

Je voyais Maximilio s'arrêter et regarder quelque chose pendant de longues secondes.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Il nous ont retrouvé merde, ce sont eux la-bas des membres des crisps.

Quoi ? Pardon ?

Directement je prenais la main d'Élio et suivis en courant Maximilio qui faisait de même.

Je jetais un œil sur eux qui ne nous avait pas encore remarqués.

C'était des sortes de motard de visuel, des foulards noir comme des pirates.

Avec des motos, veste en cuire, il y avait une fille avec un pantalon en cuire noir qui tenait une cigarette.

- Arrête de me serrer autant le cou putain, j'arrive pas à respirer.

- Désolé. Elle était paniquée ça se ressentait.

J'ouvris la voiture et faisais rentrer Elio du côté gauche, Maxi était au centre et Rosalia à droite.

- Qu'est-ce qu'on fait putain ? dis Maximilio.

Je réfléchissais déjà en démarrant la voiture sans avoir encore quoi faire.

- Je ne sais pas, je devais préparer l'enterrement moi à cause de toi on est dans le pétrin putain.

- Tu as dis que tu voulais bien m'aider.

Je serrais le volant.