Joyce, jeune femme indépendante, décide de suivre
son père, sa seule famille, après sa mutation en tant que shérif sur l'île de Outer Banks.
Malheureusement, cette mutation cache une histoire bien sombre, qui va sans qu'elle le sache, bouleverser...
La journée de travail avait été dur Joyce n'avait fait que bailler pendant ses 7 heures au magasin.
En rentrant elle était exténuée, en plus de ça la pluie était de la partie avec d'énormes orages.
Elle reçoit un appel de son père alors qu'elle venait d'arriver aux marches de son immeuble.
—Coucou Papa, tout vas bien ? Elle demande en continuant de monter les escaliers.
—Est-ce que tu as vu Rafe ? Il demande avec une voix peu rassurante.
—Non je sors du travail, pourquoi? Elle fronce les sourcils.
—Il c'est échappé de l'hôpital, il explique.
—Qu..Quoi ? C'est pas vrai, elle roule des yeux en soupirant. Je vais essayer de l'app...
Elle se stoppe quand elle arrive dans le couloir et voit le jeune homme en question assit contre sa porte encore en robe d'hôpital, complètement trempé par la pluie.
—Joyce ? Relance son père.
—Je..J'te rappelle, elle raccroche.
Elle court jusqu'à lui et se met accroupi, elle prend son visage entre ses mains, ses yeux rouges fuyait du regard mais elle remarqua qu'ils étaient rempli de larmes.
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—Qu'est-ce qui c'est passé Rafe ? Elle demande inquiète.
—Tu savais, tu savais que mon père n'est pas venu? Alors qu'il savait ! Il savait ce qu'il m'était arrivé, il gémit de nerfs, il à dit à Rose qu'il en avait marre de mes conneries, et que il préférait se concentrer sur Sarah.
—Oh, Rafe... elle s'approche et le prend dans ses bras, il sanglote doucement. Tout vas bien ce passer...tout vas bien...je suis là.
Après leur accolade, elle le regarde, il était trempé, il devait être frigorifié.
—Viens, on devrait rentrer d'accord ? Elle lui tend sa main, et il hoche la tête se relevant très difficilement.
Son corps était meurtris par tout ce qu'il avait subit ces derniers temps; l'accident de voiture, les substances et la dépression qui lui avait était diagnostiqué mais dont il n'avait parlé à personne.
Son corps n'était plus aidé par les machines et il sentait déjà les durs effets secondaires du sevrage, il n'avait pas touché à la drogue depuis bien plus longtemps qu'il n'avait jamais tenu, et son corps réclamait et lui demandait sa dose.
—Une douche bien chaude te ferait du bien, elle propose.
