Joyce, jeune femme indépendante, décide de suivre
son père, sa seule famille, après sa mutation en tant que shérif sur l'île de Outer Banks.
Malheureusement, cette mutation cache une histoire bien sombre, qui va sans qu'elle le sache, bouleverser...
Ça faisait mal, mais il venait de le faire, il était entrain de la quitter.
—Qu..Quoi ? Elle demande prise au dépourvue.
—T'as très bien entendu, il expire.
—Tu rigoles là j'espère ? Elle lui lance un faux sourire.
—Non, je te largue, il balance sans pitié.
Instantanément sa gorge devient sèche et ses mains moites, elle se sent mal.
—Je.. je viens te dire que je t'aimais et toi tu.. tu me largues ce jour là, mais pourquoi? Ses yeux se remplissent de larmes.
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—Parce que rien de tout ça n'a d'importance pour moi.
—Comment ça, ça n'a aucune importance pour toi ? Il y a quelques jours à peine tu m'offrais une montagne de cadeaux pour mon anniversaire, tu viens de passer l'après midi entière avec mon père, après ça tu ne vas pas me dire que notre relation compte pas pour toi?
Elle tremble et ressent une douleur à la poitrine, tout son monde est entrain de s'effondrer sous ses pieds, tout ce qu'elle croyait était remis en doute, tout ce qu'ils avaient construit.
—Je suis un kook Joyce, ces babioles c'est rien pour moi, et j'apprécie ton père c'est tout, il joue avec ses doigts, ça ne veut pas dire que je voulais faire ma vie avec toi, il roule des yeux.
Elle se recule comme si ces mots l'avait poussé, elle se sentait humilié, utilisée, elle n'arrive plus à retenir ses larmes et essaye de vite les essuyer pour ne pas donner de satisfaction à son ex-petit ami.
—Tu es blessant Rafe.
Il lève la tête et l'a voit pleurer, il a un pincement au coeur, il ne voulait pas faire ça mais il n'avait pas le choix.
Seulement c'était la première fois qu'il l'a voyait pleurer comme ça, ce qui était encore plus triste c'est qu'il voyait qu'elle se retenait.
Mais c'est en la voyant dans cet état, qu'il se rappel de ce qu'elle avait dit, que depuis l'enterrement de sa mère elle n'avait plus jamais pleuré devant les gens.
Il se sentait tellement coupable d'avoir été celui qui avait réussi, lui briser le cœur sans pouvoir lui donner la moindre explication, car il était pratiquement sûr qu'elle ne servait pas de lui à cet instant.
—Rend pas les choses plus difficiles Joyce.. vas-t-en maintenant, s'il te plaît, il l'a fuit du regard ne supportant pas de la voir en larmes à cause de lui.
—Très bien.
Elle prends son sac et met toutes sortes d'affaires dedans.
Tout à coup une porte s'ouvre, captant l'attention des deux jeunes vers celle-ci.