Mauvais Garçon

Chapitre 5

C'étais la première fois depuis très longtemps que je pouvais faire tous se que je voulais. Je fis du shopping, j'allai manger dans un petit bar et je me balladais dans un parc, tout ça tranquillement. Je pensais rentrer maintenant, car je commençais à en avoir marre et il devait sûrement être tard. Je regardais l'heure, 14 heures ! Ça fais seulement 1 heure que je suis sortie ! Je me rendais compte que, sans Keven les journée sont ennuyeuses. Je décidais alors d'acheter une boîte de chocolat pour remercier Kevin de m'avoir sauvé. Je rentrai dans une chocolaterie réputé :

- Bonjour.

- Bienvenue, jeune fille. Tu cherches des chocolats pour ton petit copain ?

- Oh non, c'est pour un ami.

Un Ami ! J'avais dit un ami. Je ne sais pas pourquoi, ça m'est sortie tout seul. Keven est tout sauf un ami.

- Oh, pour un ami. Mais belle comme tu l'es il dois sûrement être fou amoureux de toi.

- Oh non, au contraire.

- Dans ce cas il a tord.

- Merci madame.

- Alors, quel sorte de chocolats veux tu ?

- Des chocolats souhaitant un bon rétablissement.

- Lui aussi c'est casser le bras ?

- Comment !? Oh vous faites allusion à mon bras cassé. Non lui c'est pire, il ma sauvé de la catastrophe et il c'est fais mal à ma place.

- Et après ça tu affirme qu'il ne t'aime pas !

- Croyez moi, il ne m'aime pas du tout.

- Si tu le dit.

- Quel chocolat devrais-je prendre ?

- Celui là.

- Mais il es en forme de coeur !

- Et alors. La forme n'a pas d'importance.

- Vous êtes sur !

- Bien sur ma petite.

- Oh, je vous remercie, madame.

- Arête de me vouvoyer et de m'apeller madame, ça me vieillit. Appelle moi Cosette, tu veux ?

- Bien sur, et moi c'est Lucie.

- C'est un jolie prénom. Vient me voir quand tu veux.

- Bien sur, merci et à bientôt.

Je partis à l'hôpital et quand j'arrivai :

- Jeune homme, retourner dans votre chambre, vous n'êtes pas en état de vous levez.

- Mais je dois la retrouver, et si elle a un accident ou qu'elle se fait agresser.

- Monsieur Keven, retourner dans votre chambre je vous pris !

- Non, pas t'en que je ne l'aurais pas vu !

- Keven ! Dis-je.

- Lucie ! Dieu soit loué, tu vas bien ! Où était tu ?

- Vas dans ta chambre. Je te dirais après.

Une fois dans la chambre de Keven, je lui explicai ma journée, lui donnai les chocolat, et voyant qu'il avait mal part ma faute, je ne voulais pas partir avant qu'il s'endorme, mais je m'endormis à mon tour, à son chevet.