Chapitre 20 :Genèse pourpre.

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Dimanche 17 Février 1669

Le roi de France avait été soufflé à nouveau par les dires de sont frères. Comment la Marquises avait pus croire que Philippe la laisserait être dans son château même il les savaient amis. Les frères avaient suite prit le chemin de la pièce de Fabien pour mettre en place un plan pour pouvoir les arrêter le lendemain. Le rapporteur était gardé à Versailles pour être sur qu'il ne raconte rien de plus à Saint Cloud.

Philippe connaissant son château mieux que quiconque accompagne Marchal pour mettre en place des hommes tout au tour du palais puis il fait diversion entrant dans son palais n'étant évidement pas attendu. Un page prend charge son cheval et Fabien s'introduit dans le palais par l'arrière ou les domestiques entrent et sortent.

- « Et bien Madame, quelle surprise que de vous voir chez moi et porter une robe de mon épouse de surcroit. »

Philippe n'avait pas eu longtemps à cherche la trouvant dans l'aile Ouest assise sur une des chaises d'un petit salon. Mais il ne vit pas ses deux camarades ce qui le gêna il ne fallait pas que cela prennent une tournures autres que leur arrestations à trois en même temps.

- «  Enfin Philippe ne prenait pas cet air aussi méchant j'avais besoin de trouver refuge et vous la première personne à qui j'ai pensé la seule digne de confiance puisque nous sommes dans le même panier. »

- « Je vous interdit de dire cela Madame! Vous vous êtes adonné à des pratique à l'encontre de Dieu! Nous ne ne sommes pas du tout les mêmes. » Elle eut un petit sourire posant sa tasse de thé sur le guéridon à se gauche. « Puis notre problème va bientôt être résolu. La catin ne sera bientôt plus de notre monde. »

Philippe était en train de se servir un verre de vin quand il la regarda ne comprenant pas ce qu'elle voulait dire.

- «  Excusez moi ma chère mais je vous ai laissé faire durant les derniers mois et la catin de mon frère est toujours vivante et engrossé de lui. »

- « Ne vous en faites pas Philippe mes prières ont juste eut besoin d'un coup de pouce. Mais elles vont êtres exaucés. Elle et son batârd ne seront bientôt plus avec nous. »

Philippe entendit alors marcher dans le couloir à coté et étendu un éclat de rire féminin signe que Fabien Marchal était en place qu'ils n'attendait que d'entendre les aveux pour passer l'arrestation de tous.

- «  Vos prières Madame ? Mais envers qui ? Il se dit à la cour qu'on ne vous voit plus à l'église car vous êtes tourné vers des entités beaucoup plus sombres. »

La Montespan eut alors un petit rire venant à ses cotes pour prendre le verre de Philippe et se dernier s'en sert un second. La marquise le dégoûtait maintenant il la savait vil mais pas au point de se tourner vers le malin et ce genre de pratique proscrite par l'église.

- « Monsieur vous savez lorsque vous avez déjà fait et adressés toutes vos prières d'un coté mais que cela ne semble pas fonctionner et bien il faut faire les choses autrement mais jamais sans salir ses blanches mains. »

- « Donc vous vous êtes tournée vers d'autre croyances ou juste vos avez de bonnes personnes qui s'occupe des choses visiblement plus sale ? »

- « Et bien pour le pouvoir mon cher Philippe il faut pouvoir connaitre et énormément de personne, avec des qualités et des connaissances dans tout les domaines. Qu'ils soient de la lumière ou de la noirceur. »

- « Françoise-Athénaïs de Rochechouart de Mortemart Marquise de Montespan vous êtes en état d'arrestation pour crime envers la couronne. »

Fabien était sortit comme une marionnette de sa cachette avec trois hommes de l'autre coté. La marquise avait alors essayer sans succès de vouloir sortir.

Quand le Soleil rencontre son étoileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant