Quand le Soleil rencontre son étoile

Chapitre 12 : Anniversaire

Jeudi 5 Septembre 1668

Le roi de France avait alors tenu parole. Il s'était révélé être un amant, un amoureux des plus parfait aux yeux de Céleste. Il lui avait des cadeaux inestimables à ses yeux : elle avait reçu un parure de bijoux, des épingles à mettre dans ses cheveux, de nouvelles toilettes, De nouveaux appartements sur le même pallier que les siens. Mais surtout ce que la jeune femme voulait : du temps. Ils avaient fait le tour des jardins, s'étaient baigner dans les bains de marbres, admirer encore et toujours le bosquet d'Apollon, dansés, admirés l'avancé des travaux de Trianon. Céleste était la plus heureuse de se couple qui semble aller dans la même direction et avoir les même envies.

Aujourd'hui était un jour spécial. Céleste avait organise quelque chose de tout autant sachant bien que le matin elle n'avait pas forcément le temps de prendre le temps avec son amant. Elle décide de le réveiller avec un peu d'avance, mais, elle n'en a pas envie pour une fois qu'il est serein dans le sommeil et surtout qu'il dort tout simplement.

Elle se penche vers lui et lui embrasse le visage après avoir dégagé ses cheveux. Elle passe sur lui le chevauchant et elle sourit de le voir ans le sommeil grommeler ne voulant être réveiller.

- « Mon amour... Il est l'heure.. Mon amour... » Murmure Céleste à son oreille.

Louis n'avait pas envie d'être tiré de son sommeil. Non, il ne voulait pas, il était célébré aujourd'hui c'était son jour et il voulait pouvoir aussi trainer au lit égoïstement et ne voir personne que le corps de sa bien aimée. Mais, le traitement qu'elle était en train de lui administré lui plaisait bien.

- « Je sais que tu es réveillé Louis... »

Louis eu un sourire au parole de Céleste. Entre eux il n'était que Louis et Céleste loin de l'étiquette de la cour. Ils étaient juste deux être qui s'aime. Il ouvrit les yeux et vit sa bien aimée le torse nu face à lui. Il ne réprima pas un sourire en coin.

- « Quelle vue de bon matin ma chère, je me lasserai pas de vous voir nue chaque fois que j'ouvrirai les yeux. »

- « Joyeux anniversaire mon amour.. »

Céleste se pencha vers le roi de France et échangea un doux baiser qui devint alors plus animé quand celui ci la tourna pour prendre le dessus et passer ses mains sur ses flans.

- « Je ne suis pas sûre que nous ayons le temps pour cela tu sais » Elle se mord la lèvres sentant celle de Louis embrasser, mordiller, sucer sa poitrine. « J'ai cadeau pour toi et je voulais être la première... »

- « Je décidé, je suis le roi. Si mon bon vouloir et de t'aimer et bien ils feront avec. » Il insista bien sur le pronom possessif.

Ils ne furent pas bien seuls longtemps car Bontemps arriva par la porte dérobé. Normalement, selon le protocole il devait même dormir au pied du lit du roi pour s'assurer de sa sécurité mais ils s'étaient entendu sur le fait qu'il ne serait pas dans la chambre de Céleste.

La jeune femme sursauta et remonta rapidement le draps sur elle et son amant cachant son corps.

- « Bontemps bonjour à vous aussi mais nous sommes occupés en ce moment même.. » Louis parle nullement gêné sous les couvertures s'était a peine découché du sein de Céleste. Cette dernière était aussi rouge qu'on ne pouvait l'être.

- « Majesté je ne crains que votre cérémonie du levé ne va pouvoir attendre. Les nobles sont déjà devant votre porte. »

- « N'aies-je pas droit à une matinée de répit ? »

- « Je ne crains qu'il n'y ait de repos pour les bras mon roi ».

Louis soupira alors fermant les yeux contre la peau de sa femme. Puis il sortit de la couverture toujours son corps contre elle et Céleste sentit plus que bien que son penis lui ne voulait pas la quitter.