Chapitre 16 : Bonheur sous la noirceur

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Mercredi 10 Octobre 1668

Pendant que Marchal, La Reynie et Colbert travaillent de concert pour démanteler ce qui sera sans doute le plus grand réseaux de sorcellerie de l'histoire Céleste se préserve en vivant sa grossesse du mieux qu'elle le peut et paisiblement. Elle avait décidé de ne pas parler àLouis de l'affaire des poisons n'étant pas sur que ce soit cet affaires qui ait pris de l'avance dût à son arrivé et surtout elle voulait que les choses se fassent comme elles auraient du se faire.

D'après ses calculs, peut savant c'est sur et non professionnel, elle était tombé enceinte en Juillet. En somme au début de leur relation, elle était maintenant de quatre mois et une chose est sur personne ne peut rater son état. La brune s'est considérablement arrondit et elle commence à ressentir son bébé bouger. Même si elle s'efforce de vivre sa grossesse sereinement elle ne peut s'empêcher souvent de pleurer en ce disant qu'elle la vit seule. Ses parents et sa soeur ne sauront jamais. Ils ne sauront pas qu'elle aura été maman et la plus heureuse à ce jour même si c'est dans une relation peu conventionnelle.

Louis n'avait pas voulu cacher sa grossesse et d'ailleurs il ne tarissait pas d'éloge sur sa maitresse et ne manquait jamais de la faire danser d'avoir quelques gestes d'affection sur son ventre rebondit. La nouvelle avait vite fait le tour de Versailles et surement de la France que la favorite était « grosse ». Puis ces nouvelles robe battante n'avait fait qu'accentuer la nouvelle. Mais Céleste s'en fichait bien, elle était heureuse et ce qui comptait même si elle avait bien vu et ressenti les regarde de jalousie et de colère de la Montespan et de Monsieur le frère du roi.

Céleste sourit à Iris, sa fidèle Iris qui était toujours la pour la vêtir maintenant elle avait bien besoin d'elle pour mettre ses bas et ses chaussures.

- «  Iris j'ai déjà besoin de toi maintenant alors imagine dans quelques semaines je ne ferais que t'embêter. »

- « Ne vous en faites pas Céleste je suis la pour ça puis vous devez vous ménager aussi. »

- «  Le roi à besoin de moi pour voir les travaux de la grande galerie puis nous allons surement nous retirer. Je t'avoue que je suis épuisée et le roi ne m'aide pas non plus. »

Céleste eut un petit rire avec sa dame de chambre. Oui le roi était une personne prévenante, qui voulait bien mettre Céleste dans une bulle si il l'aurait pus pour être sur que rien ne lui arrive et qu'elle ait tout le confort qui lui était du pour autant, il n'en reste pas moins que leur nuit sont agités. Céleste avait du lui faire comprendre parfois que le bébé l'épuise et qu'elle ne peut lui répondre.

La porte de ses appartements s'ouvrit sur Le roi de France et Bontemps qui entre. Iris leur fait la révérence et le fermoir de son collier mit, la brune la remercie alors qu'elle se retire rapidement.

- «  Ma Céleste vous êtes éblouissante ainsi. »

- «  Mon roi je vous remercie. Mais, vous n'êtes pas obligé de me flatter vous savez. »

- « Il n'en n'est rien mon aimée. » Il s'approche et embrasse ses mains avant de porter une main protectrice sur le ventre de sa maitresse. « Vous êtes une future mère extraordinaire »

- «  Merci mon roi. Merci. »

Céleste était touché par ses paroles puis elle pris son bras pour sortir de ses appartements et se rendre au rez-de-chaussée où il y allait avoir un concert pour le roi.

- «  Comment vous sentez vous aujourd'hui ? Etes vous toujours fatiguée ? » Demande Louis curieux.

- « Cela va mieux je prend le temps de dormir et cela me fait du bien vous savez. Mais j'ai bien peur que la fatigue me suivra jusqu'au bout. » Céleste marque une pause le temps des nobles passent. «  Mon roi j'ai réfléchit à quelque chose et j'aimerai vous en faire part. »

Quand le Soleil rencontre son étoileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant