Aujourd'hui, je m'étais habiller simplement. Parce que s'il y avait une chose sur laquelle j'ai veillé, c'est que les paparazzis ne sachent jamais où j'habite. Cependant, et je le sais, je ferai la une des journaux et, à défaut de chez moi, les portes du building seront plein à craquer de reporter ce matin. Plus qu'à devoir supporter toutes ces agitations. Tout ce que je déteste. J'appréhende tellement le moment je n'ai pas fermer l'oeil de la nuit.Pourquoi me suis-je dévoilé déjà ?
Ah oui pour faire chier Jungkook. Bah pour le coup, là, c'est moi qui me fais chier.
Je gare ma voiture dans le parking et je me prépare mentalement à affronter ce qui m'attend dehors.
Dès qu'ils me voient, la montagne de journalistes armée de leur caméras se ruèrent vers moi. Je ne savais franchement pas comment passer. J'ai l'habitude d'avoir l'air sûr de moi mais là, la peur empoigna mon estomac, mes yeux s'écarquillèrent comme deux globes. Mes ongles s'encrérent dans ma paume à force de serrer mon point. Je saignais mais ne ressentais pas la douleur.
J'ai perdu, je voulais jouer et j'ai perdu. Tous ce qui m'arrive est de ma faute.
Je ne sais pas si le pire, c'est que malgré mon état les reporters continue de m'enfermer dans le cercle qu'il avait construit autour de moi ; ou le fait que les vigiles sensés surveiller l'entrée de l'immeuble me regardaient sans rien faire.
En voyant que personne ne me venait en aide, la sensation d'oppression se fit encore plus ressentir et mes yeux s'embuére de larmes. Elles ne dépassent pas la barrière de mes paupières mais sont bien présentes. Je ne voyais plus clairement, j'avais perdu tous mes sens et je sentais la crise d'angoisse pointée. Beaucoup de choses se bousculaient dans ma tête, sans pour autant être cohérents. Des pensées qui n'avaient rien à voir avec la situation actuelle, de mauvais souvenirs, des actes passés regrettés.
Je ne me sentais plus à ma place, dans cette foule comme dans ce monde. Je savais, je savais que je n'y avais pas ma place. Pas mon droit. Non !
Je n'étais pas digne des Park, pas digne de la royauté.
J'étais une merde.
Une pute.
Un chien.
Je devais être beau et me taire.
Je n'avais pas le droit de pleurer.
De crier.
De refuser.
Je n'avais pas mon mot à dire.
Je devais juste subir.
Parce que je ne suis bon qu'à ça.
Je n'ai que ce que je mérite.
Parce que sans mon nom, je ne suis
RIEN.
Et comme d'habitude, quand ce genre de souvenirs revenaient, je fige mon corps, y sortant complètement. Mon cerveau est mit sur stop et je me retrouve étranger de mon corps.Je vois ce qui se passe devant moi, je ressens le toucher d'autrui sans pour autant le sentir réellement. Mon corps entre en transe et je subis les évènements sans pour autant être là.
Tout à coup, je sentis une main qui faisait pression sur mon dos. M'aidant à avancer dans cette foule aussi sombre que mes pensées.
Jk: Il ne répondra à aucune question et j'espère que d'ici 5 minutes vous aurez débarrassés le plancher sinon c'est la police qui vous aidera à le faire.
Nous avançons ces le hall de l'immeuble, cependant avant d'entrer il s'arrêta devant les vigiles.
Jk: Après avoir aidé nos chers amis s'en aller je vous veux dans mon bureau. TOUS !
VOUS LISEZ
Mon patron infidèle (JiKook)
FanfictionPark Jimin, connu sous le nom de Parker Jimin à son lieu de travail, est un homme de 28 ans travaillant en tant que secrétaire à la Jeon•Corporation. Souvent discret et travailleur, il est très apprécié par son patron Jeon Jungkook 30 ans et marié...