Chapitre 10

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                   PDV SEUNGKWAN

Ma cheville me lançait terriblement. J'étais vraiment poursuivi par la malchance.

- On va certainement devoir passer la nuit ici, me dit Mingyu

- Dire qu'on allait au commissariat à la base... Quand on pourra enfin sortir de cette cabane, ils seront rentrés et c'est nous qu'ils chercheront... je soupirais

- Au moins on est à peu près en sécurité, enfin, j'espère. Il faut trouver le moyen de contacter quelqu'un.

- Sauf qu'il n'y a pas de réseau ! sur ces mots je m'allongeais et fermais les yeux.

- Tu peux te reposer, je vais veiller encore quelques heures, me dit mon ami.

× × × × × × ×

La lumière du jour me réveilla, cette cabane avait beau ne pas avoir de fenêtres, elle était vachement mal isolée.

- Mingyu..., j'appelais

- Mingyu ?

Je me relevais en n'entendant aucune réponse.
J'étais seul dans la cabane.

Je tentais de me relever mais me cheville me lança et je retombais sur le sol.

- Seungkwan ? Qu'est ce qu'il se passe ?

- Mingyu ! Où étais tu ? Je ne te voyais pas !!

- J'ai trouvé que ce pan de mur était un peu bancal et en le poussant j'ai trouvé cette pièce ! Regarde ! me dit il en m'aidant à aller jusqu'à l'embrasure de la fausse porte.

C'était une chambre d'après ce que je pouvais en déduire. Elle était sale et avait l'air abandonné depuis longtemps.

- J'ai même trouvé une boîte à pharmacie ! me dit il fièrement.

- Tu as vérifié que les produits n'étaient pas périmés au moins ?

-Oh... Non, son air fier disparu rapidement de son visage.

- Passe moi ça, je vais le faire, dis je tout en regardant les dates de péremption.

- C'est bon, ils sont jusqu'en 2023.

Je pu enfin soigner ma cheville et mettre un vrai bandage.

- Qu'est ce qu'on fait maintenant ?

- Je vais aller vérifier s'il y a quelqu'un à l'extérieur et après on pourra peut être partir

Il commença à enlever les meubles qu'il avait placés devant la porte la veille en essayant de en pas faire de bruit mais ce fut peine perdu, le plancher craquait.

- Bon, là s'il est toujours dans les parages on est mort, me dit Mingyu

- Belle constatation, raillais je.

Il ouvrit doucement la porte et passa sa tête par l'entrebaillement de celle ci. Je retenais mon souffle. Si le type d'hier était toujours là, la tête de Mingyu ne repasserait pas intacte.

- Il n'y a rien !

- Vraiment ? Oh, merci ! Je veux partir !

Quel soulagement, on allait enfin pouvoir s'en aller de cet endroit.

- Allez viens.

Je montais sur le dos de mon amis et nous partîmes enfin.

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Hey,

Ma grammaire part un peu loin 😂
Tellement que j'ai presque des doutes
N'hésitez pas à me dire mes erreurs 😭😂

A+

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