Alis

Chapitre 1

685 av J-C :

POV ALIS :

Je me tenais là, assise sur l'herbe verte de cette petite campagne d'Italie, profitant du paysage comme a mon habitude quand je sentis une présence près de moi. Je tournai donc la tête du côté de la personne venue me rejoindre et tomba nez à nez avec Mendacium, mon seul est unique ami dans ce monde ou trahison et drames sont mots clés.

« - Bonjour toi ! me dit-il en voyant qu'il avait mon attention.

- Bonjour !

- Tu t'éclipse toujours sans moi. Dit-il avec un rictus.

- T'aurais-je blessé ? dis-je amusée.

- Effectivement, Durum n'arrêtais point de me parler du mariage de sa fille. J'ai prétexté que ma sœur m'appelait pour m'enfuir.

- Mon pauvre tu es à plaindre. Lui réponds dis-je

- En parlant de mariage, que vas-tu faire pour Inertia ? »

Voila, ce que je craignais, ce pour quoi nous fuyons cours toujours plus vite que nous l'espérons. Inertia est l'homme que j'aime, celui pour qui je suis éprise, notre histoire est digne des plus grandes pièces des théâtres romains. Nous avons grandi ensemble, avec Mendacium, un groupe d'enfant inséparable, qui firent des tas et des tas de mauvais coups, voila ce que fut mon enfance à leurs côtés. Jamais je ne me serais douté que secrètement je me suis mise à ressentir des sentiments que je ne ressentais point vis-à-vis de Mendacium, mais ce qui devait arriver arriva. Au fils des années nous avions développer une sorte de bulle entre nous, une bulle remplie d'envie, de tentation, de complicité, de sensations nouvelles.

Nous avons finalement fini par nous promettre un amour éternel, un amour que seule la mort aurait pu séparer. Mais nous ne savions pas que l'avenir serait si cruel envers nous, en effet nos parents ont prévus de nous marier séparément à une personne qui satisfasse leurs besoins. En me remémorant tout ces souvenirs que j'était venue oubliés je ne pus m'empêcher d'avoir la gorge nouée et les larmes au garde à vous.

« - Je ne sais point, je marque une pause, je pense que je vais aller contre la volonté de mes parents, pour lui. Dis-je en me retournant vers le paysage que la nature m'offrait.

- Alis... es-tu sûre ?

- Mendacium, si je ne prends pas ce risque pourrais-je un jour être heureuse sans lui ? »

Mendacium ne me répondis pas car il savait que j'était déterminer a vivre avec celui que je souhaite plus que tout.

Finalement nous rentrons au château là ou nous vivions, nous sommes nés et avons grandis ici, je ne connais nul autre endroit que celui-ci et c'est le seul endroit qui comble mes peines et mes doutes. C'est un château tout à fait ravissant, grandiose, majestueux.

Dans le château :

Nous rentrâmes avec Mendacium par l'immense salle de bal où la réception donnée par l'hôte était apprécier de tous. Le plafond de la salle était soutenu par d'immense piliers ornés d'or, le sol de marbre blanc faisait ressortir le bruit des talons, dans le fond de la pièce, des escaliers croisés eux aussi de marbre, aucun noble ne peut se monter modeste sur son logement, ces escaliers étaient en dessous d'une gigantesque vitre ronde, on aurait dit une fleur de par toutes ces petits pétales tombant dessiner dessus.

Mendacium et moi-même nous avançâmes dans la grande pièce illuminée aux lustres plus grand et lumineux les uns que les autres, a la recherche de notre troisième complice pour comme a notre habitude nous éclipser à nouveau de la fête. Nous le retrouvons a discuter avec certains invités, Mendacium lui fit des grands gestes pour l'avertir de notre présence, il nous repéra et dit des paroles inaudibles a ces compagnons de conversation et vint nous rejoindre.

Quand son regard se posa sur moi son visage s'illumina comme si la nuit était tombée, comme si ses yeux étaient devenus le ciel étoilé, sans dire un mot nous partîmes tous les trois hors de la salle, une fois sortis Inertia me pris dans ses bras comme si nous nous étions séparés depuis des années, il me lâcha au bout que quelques minutes :

« - Mon dieu je n'ai pensé qu'a ça, je hais être loin de toi. Je souris à sa phrase.

- Bonjour a toi aussi mon ami, comment je vais ? Eh bien je ne peux me porter mieux surtout après cet accueil chaleureux. Dit Mendacium presque aussitôt, le pauvre c'est vrai que depuis que Inertia et moi nous nous étions déclarer nos sentiments il se sentait parfois seul.

- Pardonne moi Men, toi aussi tu m'as manqué mais toujours moins que Alis.

- Super merci, je n'ai pas très envie de tenir la chandelle aujourd'hui les amis donc puissiez vous m'inclure. Il finit sa phrase par des rires ce qui entraina un rire collectif. »

La soirée se poursuivie avec nous trois rigolant pour un rien puis la minute d'après nous parlions de sujet sérieux comme si nous avions les pleins pouvoir sur nos vies. Quand tout à coup Mendacium partis satisfaire un besoin pressant, je profitai de la situation pour parler a Inertia de ce qui allais se passer :

« - Inertia... ? dis-je doucement

- Oui mon ange ?

- Par rapport aux décisions de nos parents... Il me coupa.

- N'ai pas peur, je ne veux personne d'autre que toi Alis, depuis petit j'ai toujours su que ma vie était avec toi, je ne peux rester loin de toi trop longtemps comme si un organe me manquait comme si les dieux me rappelaient sans cesse que quelque chose manque à chaque instant où tu es loin de moi. Je ne sais comment mes parents ont pus penser que je pourrais tenir une seule journée sans toi, sans pouvoir te serrer dans mes bras. Tu es mon énergie vitale, ma déesse, mon soleil, la rosée du matin qui rends tout à coup la nature calme et la plus belle que jamais. Ce n'est pas pour rien que je garde notre premier baiser pour le jour de notre mariage.

- Inertia...

- Ne réponds pas mon ange je sais déjà tout l'amour que tu m'offre au quotidien. »

A SUIVRE

Merci d'avoir lu le premier chapitre de cette histoire, en espérant qu'il vous a plus.

A bientôt pour le chapitre deux.