Chapitre 8 : Un rêve

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Qu'est-ce que je dois faire ? Je me rapproche tout doucement d'elle, mais finalement je garde une distance assez raisonnable entre deux individus. Elle se tourne en pleurant, à la seconde qui suit, elle se blottit contre mon torse. Merde... Automatiquement, ma main se dirige vers son visage. Je prends son menton. D'un main libre, je commence à sécher ses larmes. 

Dans les minute qui suit, je la regarde en train de dormir profondément. Je contemple chaque facette de corps. Je me penche vers elle et m'assois auprès d'elle.  Ma main hésite de se poser sur dans la sienne... Pourquoi ça me tracasse autant que ça ?

Je suis en train de devenir fou... Comment une femme comme elle peut me rendre dans cette état ? Mes yeux atterrissent sur son visage... Elle ressemble comme un ange... Innocence... Fragile... Je peux ressentir un besoin de la protéger....

Je ne pouvais pas rester bras croisés en regardant la scène de tout à l'heure.

- Je ne suis pas fait pour entretenir une relation

Maria ne mérite pas la façon que je la traite. Je retire ma main pour enfin le posé sur mon visage.  Je sourire bruyamment. J'entends Isabelle en train de grogner dans son sommeil en fronçant les sourcils.

Le lendemain, je me réveiller en douceur cependant ce n'était un cours durer. En sursautant sur place, je regarde autour de moi e cherchant du regard la femme qui était allongé sur ce lit.

Je me mets à courir à travers dans toute la maison. En arrivant à l'extérieur, mes yeux se posent sur elle en train de traversé la route. Je soupire de soulagement. Néanmoins, j'entends des grincements. Des flashs reviennent à mon esprit brusquement.

Maman... Mon corps a décider de bouger sans que je le sache. Je voyais en face de moi ma mère en plein milieu de la route. De justesse j'attrape le bras de cette femme afin de la tirer contre moi avec force que je  tombe en arrière.

- Christian ?

  BnJ'ouvre les yeux en prenant le visage de cette femme. Je regarde de bas en haut pour l'examiner. Bizarrement, je me sens soulagée de savoir qu'elle a rien. Je la prends dans mes bras en serrant contre moi. Je marmonne plusieurs mots.

- Christian, qu'est-ce que vous faites ?

- Tu es vraiment inconsciente du danger...

Isabelle





Je papillonne mes paupières plusieurs fois. C'est la première qu'il me tutoie ainsi. Je peux sentir son parfum pour la première fois. Je me sens si proche de lui, que le sentiment de sécurité commence à m'envahir.

- Je vais bien vous ne inquiétez pas.

- Je vais appeler un médecin tout de suite... Je veux savoir si vous allez bien...

- Ce n'est pas là peine, je vais bien

- Ce n'est pas une question !

je sursaute. Quelques minutes plus tard, je me trouve assis sur mon lit pendant que le médecin est train de m'examiner sous les yeux attentif de Christian. Il me regarde en fronçant les sourcils, sa main  libre se pose sur son menton.

Quant à moi, je suis regarde attentivement les geste de l'homme en fasse de moi. Néanmoins, ce silence est courte train, deux garde du corps se dirige vers Christian.

- Vous avez de la chance que Monsieur Christian était là, dit le médecin en rangeant ses équipements. Sinon vous serez aux urgences.

- Vous le connaissez ?

- Je suis son médecin généraliste donc oui.

- Il était toujours comme ça aussi froide et distant ?

Sans me répondre, il laisse une ordonnance sur la table de chevet. lorsqu'il ferme la porte, la voix se fait entendre.

- Vous êtes certain que c'est lui ?

- Oui monsieur, nous l'avons vue sur la caméra.

Je me mets debout et me dirige vers les deux garde du corps en croisant les bras. Ils taisent sur le champs. Je fais un long va et vient entre les deux hommes et Christian.  Il les ordonne de partir afin de nous laisser seuls. Il me regarde attentivement en passant sa main sur mon visage. Je le regarde droit dans les yeux. Son pouce atterrissent sur mes lèvres pour ensuite faire le contour.

- Vous êtes sur que vous allez bien ?

Il recommence à me vouvoyer. Je suis que ce n'était juste un instant de faiblesse. Je soupire. Je prends sa main et la regarde.

- Vous êtes blessé...

- Ce n'est que des égratignures.

Des larmes commencent à tomber. Je tremblote.

- Je suis vraiment désolée... C'est à cause de moi que vous êtes blessé.

Il prend ma tête et la pose tout doucement sur son torse. Je papillonne mes paupières. Il est en train de faire ?

Dark mafia : 30 joursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant