Soudainement, Christian donne un coup sur la table - je sursaute sur ma chaise. Je peux voir sur son visage plusieurs veines qui commencent à dessiner.
- Comment ça vous ne saviez pas qu'il allait avoir une fusillade ? Dit-il en criant.
- Nous sommes désolés, malgré que nous avons surveiller ses fait et geste... Nous avons dû oublier des détails.
- Vous le croyez ? Vous êtes une bande d'incapable, vous voulez aussi que je vous tiens la main également !
Je me lève malgré la difficulté qui est mélangée à la tristesse. Je pose une de mes mains sur une de ses bras. Les traits de son visage commence s'adoucir en même temps qu'il soupire. Il s'assoit sur sa chaise de bureau. Sa main droite atterrit sur son front et l'autre est posée sur la mienne.
- Vous pouvez nous laisser s'il vous plait
Les gardes du corps sort de la pièce. Je m'assois en face de lui en le regardant attentivement... En attendant des éléments de réponse à mes questions. Christian ouvre ses yeux tout doucement pour me regarder droit dans les yeux.
- Qu'est-ce qu'il se passe ? Demandé je avec une voix presque inexistante. C'est qui cette personne qui organisé tout ça.
- Isabella...
Je fronce les sourcils en croisant les bras. Il soupire une nouvelle fois.
- Tu ne peux pas m'enfermer ici tu sais très bien, dis je en croisant les bras. Je suis sérieuse. Je veux savoir qu'est-ce qu'il se passe.
Il me regarde une dernière fois avant de sortir un dossier et me le donne. Je parcours les feuilles. Au fils du temps, mes membres commencent à trembler manière incontrôlable. Je jette le dossier sur le bureau en posant ma main sur ma bouche et me lève.
- C'est impossible ! Il ne peut pas faire ça !
J'entends le grincement de sa chaise. C'est totalement impossible que ça soit vrai. Des larmes glissent sur mes joues. Bon sang ! Je ne pense pas.... Je ne veux pas croire qu'il soit lié à la mort de mes parents. Je pose une de mes mains sur mon visage. D'un mouvement tendre, Christian prend ma main libre pour ensuite entrelacer nos doigts. Son torse se colle délicatement contre mon dos. Je peux sentir son souffle contre ma peau.
- Tu peux me faire confiance, Isabella, dit-il en enlevant mes cheveux d'un coté, fait moi confiance, je peux te protéger.
Ses lèvres atterrissent sur mon cou. Mon cœur commence à battre plus en plus vite. Je ferme les yeux avec lenteur. Christian me fait tourne pour je sois en face de lui. En prenant mon menton, il lève mon visage pour que nos lèvres se touche enfin. Ce baiser est rempli de tristesse et colère qui m'a envahit en espace d'une seconde, mais également de ma reconnaissance de me protéger envers toi. J'y ai placé mon pitoyable désire que j'ai enfoui depuis quelques jours. Je tourne la tête en posant mes mains sur son torse.
- On ne doit pas aller plus que ça.
- Je sais que tu me veux entièrement
Ce n'est pas faux... Je soupire une nouvelle fois avant qu'il prend mon visage une seconde fois. Ses mains sont tellement doux.
- Je ne vois pas le mal. Le mal que je vois c'est que tu n'accepte pas mes envies... Tes envies...
En gardant mon visage entres mes mains, il m'embrasse avec ardeur. En gémissant, il me fait reculer de quelques pas de plaquer contre un mur. Je tire ses cheveux à partir de la racine. Ses lèvres descendent au niveau de mon cou en tenant ma tête. Je mords mes lèvres en souriant. Il m'embrasse une dernière fois avant de se séparer de moi définitivement.
- Je veux que tu prépare tes affaire, je vais t'emmener quelque part où tu seras protéger, dit-il se dirigeant vers son bureau.
Mon dieu... Il balance ce genre de choses comme si rien n'était. Je range mes cheveux à leur places avant de partir.
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Dark mafia : 30 jours
Romance30 jours avec un homme qui est terriblement magnifique et ténébreux, mais le goût du danger est comme une drogue. Cependant, comment peut on rester avec un homme qui est mystérieux et maniaque du contrôle ?