Des vacances de Noël improvisées - En Pause -

Chapitre 6

— Quelle annulation ? je les interroge en passant la porte d'entre pour me protéger du froid, les yeux écarquiller.

Je passe d'un inconnu à l'autre. Le premier a les yeux bleus et les cheveux brun et le secoue les cheveux plus claire et des yeux du même vert que la fillette.

Le deuxième homme se passe la main dans les cheveux et invite la fillette à retourner dans sa chambre. Je regarde l'enfant monter les marches de l'escalier en tenant la main de sa poupée en lui faisant monter les marches.

— Nous sommes infiniment désolés, commence l'homme qui tenait les sacs. Nous étions sûrs que nous avions annulé votre réservation.

— Non, c'est moi, je m'excuse. Je savais que ces vacances n'étaient pas une bonne idée, mais je suis quand même venue, je leurs avoue en me balançant d'un pied à l'autre gêner. Je vais voir si un train repart dans la soirée et je rentrerais.

Les deux hommes échangent un regard et j'aperçois en haut de l'escalier la petite fille me regarde, sa poupée a coté d'elle.

— On ne peut pas vous laisser repartir, reprend l'homme brun. Ils ont prévu beaucoup de neige. Vous ne pourriez probablement repartir que demain ou après demain.

— J'irais dans un petit hôtel, je les rassure. Ne vous en faites pas.

Je tirais un peu plus sur les manches de mon manteau pour protéger mes mains du froid et le retourne pour prendre ma valise et mon sac que j'avais laissé derrière moi un peu plus tôt en entrant dans la maison.

— Pourquoi elle ne vient pas avec moi ? dit une petite vois.

— Je lève la tête et vois la fillette tenant sa poupée contre elle en se dandinant gêner. L'homme aux yeux vert s'accroupit devant elle et passe la main dans son dos dans un geste rassurant.

— Parque, commence-t-il avant d'être coupé pour son compagnon.

— C'est une mauvaise idée, dit l'homme brun en regardant son mari avant de se tourner dans ma direction. Resté chez mon frère au moins le temps que vous trouviez un train qui vous ramènera chez vous.

— Je ne vais pas déranger un inconnu, je dis mal à laisse.

— Vous ne le dérangerez pas, me rassure-t-il. Iris peut être adorable vue comme ça, mais vous ne serais pas assez de deux pour vous occuper d'elle.

Je regarde la petite fille qui me supplie du regard. Après qu'elle second voyant que je ne réponds toujours rien elle quitte les bras de l'un de ses pères et s'approche vers moi.

— Tu sais Natalie aussi elle veux que tu viennes avec nous chez tonton pendant que papa et papa ne sont pas là, me dit-elle en me montrant la poupée.

Avant d'aspecter, je lève les yeux sur ses pères et les interroge, tous les deux hochent la tête en signe d'approbation.

— Très bien alors pour faire plaisir à Natalie, je vais venir le temps de trouver un train pour me ramener chez moi.

Elle saute de joie et enroule ses bras autour de ma taille. Et aussi vite qu'elle nous a rejoint elle repart dans les escaliers.

— Tu voudras plus repartir après être venue chez tonton, dit-elle avant de disparaître.

Je lève les sourcils surprise et regarde les deux hommes.

— Vous ne seriez pas assez de deux, me répète le brun avant de se présenter. Je suis Raphaël et vois ci mon mari Max.

Avant même d'arriver chez l'oncle d'Iris, elle était complètement excitée dans la voiture. Elle racontait à ses pères ce qu'elle avait prévu de faire avec ces poupées et ce qu'elle attendait que les Père Noël lui apportent. Puis d'un coup elle s'était tourner vers moi pour me demander la même chose. J'ai été obligé de trouver quelque chose le plus vite possible et la première chose qui m'était venu, c'était des nouveaux crayon de couleur.