Chapitre 3

29 10 3
                                    

Ses amis vinrent, un temps, la visiter. Elle restait imperturbable devant les gémissements, écoutait sans se plaindre les plaintes de son entourage. Seules les larmes de ses amies les plus proches lui en arrachèrent, car elles ne pleuraient pas sa mort prochaine, mais la douleur qui en résulterait. Cela témoignait au moins d'un minimum d'affection envers Elisabeth.

Elle se forçait à montrer de la détresse. Son cœur frémissait d'impatience.

Elle, l'écriture, eux, la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant