Chapitre 4

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-J'arrive pas à croire que tu risques de partir avant moi, ma poupette, répétait sa grand-mère en sanglotant. C'est injuste, ça arrive, hein ? Les injustices. C'est comme ça, c'est si dur. Ma poupette, je te rejoindrai bientôt, ne sois pas triste.

Elisabeth n'était pas triste. Elle patientait. Son téléphone attendait sur la table de nuit, son outil de travail qui était la seule chose qui importait.

Elle, l'écriture, eux, la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant