CAUCHEMAR CHAPITRE 1.6

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Je me réveillais en sueur, le crâne luisant dégoulinant, j'avais cet homme dans mon cauchemar, cet homme qui me touchait encore et encore, je sentais, ces caresse parcourir mon corps, sa bouche rentrant en contact avec ma peau, ces mot vulgaire et grossier, j'essayais de me débattre de son emprise, mais j'étais bloqué un peu comme si j'etais paralysé.
Eden fessa sont entré dans la chambre.
Se mettant à côté de moi, voyant les larmes sur mon visage, il me serra dans ces bras collant ma tête sur son torse en entendant son cœur battre.

Après plusieurs minutes à être dans ces bras à me consoler avec ces doux mots, il me dit.

- 𝙇'𝙚𝙣𝙘𝙪𝙡𝙚́ 𝙦𝙪𝙞 𝙩'𝙖 𝙛𝙖𝙞𝙩 𝙘̧𝙖, 𝙦𝙪'𝙚𝙨𝙩-𝙘𝙚 𝙦𝙪'𝙞𝙡 𝙩'𝙖 𝙙𝙞𝙩 ?

- 𝗝𝙚 𝙥𝙚𝙣𝙨𝙚 𝙦𝙪𝙚 𝙩𝙪 𝙣'𝙖𝙞𝙢𝙚𝙧𝙖𝙞𝙨 𝙥𝙖𝙨 𝙨𝙖𝙫𝙤𝙞𝙧 !

- 𝗝'𝗮𝗶𝗺𝗲𝗿𝗮𝗶𝘀 𝘀𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿, 𝗷𝗲 𝘃𝗲𝘂𝘅 𝘀𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗹𝗮 𝗱𝗼𝘂𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗾𝘂𝗲 𝗰̧𝗮 𝘁'𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗰𝘂𝗿𝗲́𝗲...

Je prenais une grande respiration avant d'ouvrir la bouche, 𝑗𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑎𝑖𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒𝑟, 𝑡𝑜𝑢t 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑠𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒́, 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒́ 𝑎 𝑒𝑥𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟, 𝑗'𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒𝑟, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑠𝑖 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒 𝑚𝑒 𝑏𝑙𝑜𝑞𝑢𝑎𝑖𝑡, 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒𝑟.

- 𝗘𝘁 𝗯𝗶𝗲𝗻...𝗶𝗹 𝗺'𝗮 𝗱𝗶𝘁...𝗷𝗲 𝗻𝗲 𝘀𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗮𝘀...𝗷'𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗮̀ 𝗹𝗲 𝘀𝗼𝗿𝘁𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝗺𝗮 𝗯𝗼𝘂𝗰𝗵𝗲, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗿𝗼𝗽 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲́...

- 𝗘𝘀𝘀𝗮𝗶𝗲...𝗱𝗲 𝗹𝗲 𝗱𝗶𝗿𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘁𝗲𝘀 𝗺𝗼𝘁𝘀, 𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲 𝗺𝗼𝗻 𝗮𝗺𝗼𝘂𝗿, 𝘀𝗶 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝘃𝗿𝗮𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲́ 𝗮𝗿𝗿𝗲̂𝘁𝗲, 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗷'𝗮𝗶𝗺𝗲𝗿𝗮𝗶𝘀 𝘀𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗹𝗮 𝗱𝗼𝘂𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝘂 𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘀 𝗳𝗮𝗰𝗲 𝗮̀ 𝗰es 𝗰𝗿𝗶𝘀𝗲s 𝗲𝘁 𝗰es 𝗰𝗮𝘂𝗰𝗵𝗲𝗺𝗮𝗿s !

- 𝗜𝗹 𝗺'𝗮 𝗱𝗶𝘁...𝗷𝗲 𝘁𝗲 𝗯𝗮𝗶𝘀𝗲𝗿𝗮𝗶 𝘀𝘂𝗿 𝗰𝗲 𝗳𝗼𝘂𝘁𝘂 𝗹𝗶𝘁, 𝗾𝘂'𝗶𝗹 𝗮𝗹𝗹𝗮𝗶𝘁 𝗺𝗲 𝗯𝗮𝗶𝘀𝗲𝗿 𝘁𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁...𝗻𝗼𝗻 𝗷𝗲 𝗻𝗲 𝗽𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗮𝘀, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗵𝗼𝗿𝗿𝗶𝗯𝗹𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀 𝗱𝗲́𝘀𝗼𝗹𝗲́𝗲...

- 𝗖𝗲 𝗻'𝗲𝘀𝘁 𝗿𝗶𝗲𝗻...𝗽𝗮𝘀 𝗹𝗮 𝗽𝗲𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝘁'𝗲𝘅𝗰𝘂𝘀𝗲𝗿, 𝗷𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀 𝗻𝗮𝘃𝗿𝗲́...𝘀𝗲 𝗳𝗶𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝗽𝘂𝘁𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗺𝗼𝗿𝘁 𝗺𝗮𝗶𝗻𝘁𝗲𝗻𝗮𝗻t 𝗶𝗹 𝗻𝗲 𝘁𝗲 𝗳𝗲𝗿𝗮 pu 𝗮𝘂𝗰𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗹 !!

Il caressa ma joue, avec un sourire triste, j'attrape son bras s'enroulant autour de moi, j'étais à nouveau dans ces bras, l'endroit où je me sentais en sécurité.
Cet endroit où j'étais protégé, ou je courais plus aucun danger.
Il s'allongea à côté de moi, posa ma tête sur son torse fermant les yeux en me sentant en sécurité et apaisé.
Ce n'était plus des cauchemars que je fessai mais des rêve, rêvé a ces côté était magique, tout mes démons partait.
Sont bras était autour de ma taille, il était collé a moi et j'étais dos à lui, le seul qui pouvait me toucher sans que je soie effrayer.

AliceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant