Tu fis semblant d'acquiescer en faisant un bref hochement de tête, tu l'as dit et tu le penses encore dans ta tête, tu ne sortiras pas d'ici sans lui. Henry se leva de sa chaise, te saisit la tête et t'embrassa le front. Tu te leva à ton tour et attrapa le bras de Henry avant qu'il n'ait eut le temps de saisir la poignée. Tu le tiras violemment vers toi et enroula tes bras autour de lui, tu posa ta tête sur son torse pour entendre ses battements de coeur. Il plaça ses bras dans ton dos et te caressa tendrement.
La journée passa rapidement, tu évitas les regards oppressants des autres enfants, Dr BRENNER ne te prêta aucune attention aujourd'hui, tu trouves cela bizarre et suspect mais n'y prête pas un grand intérêt. Tu retournas dans ta chambre en fin de journée comme tu le faisait chaque soir, tu t'installa sur ton lit en regardant le plafond. Ta vision devenue floue, tu sentis quelque chose couler sur tes joues, tu pleures. Tu as peur que Henry ne puisse pas venir avec toi, tu as peur de ne plus jamais le revoir, te dit-tu dans ta tête. Mais tu ne vas pas perdre espoir et tu vas quand même essayer de lui retirer cette satanée puce du cou. Tu essuya tes larmes en entendant toquer à la porte. Tu te leva et te dirigea vers la porte, tu saisit la poignée et tu l'abaissa pour l'ouvrir. Tu ne fus pas surprise de découvrir le beau visage de Henry derrière la porte.
- Tu est prête ? Et rappelle toi, oublies-moi. Te demanda-t-il.
Ses mots deviennent de plus en plus tranchant dans ta gorge, tu ne lui répondit pas et parti vers la salle d'évasion. Tu trouvas un grade devant et tu commença ta diversion :
- Monsieur, j'ai très mal au ventre et à la tête... Dit-tu en faisant semblant de t'évanouir.
Le garde te retint et te prit dans le bras pour t'emmener à l'infirmerie, tu ouvrit légèrement les yeux, tu vit Henry se faufiler a l'intérieur de la salle d'évasion.
Tu t'enleva des bras du garde et te mis à courir, priant pour que Henry t'ait déjà ouvert la porte. Tu te trouves désormais devant la porte, elle est verrouillé, tu donne des coups violents a la porte jusqu'à t'en faire mal au poignet, tu te retourne et te retrouve nez à nez avec le garde qui se rapproche de plus en plus de toi.
Soudain, tu tombais en arrière et t'écroula sur le sol, tu compris que Henry s'était enfin décidé à t'ouvrir la porte, il l'a referma instantanément.
Il te tira par le bras et se mit à courir, ne pouvant te détacher de son emprise, tu n'avais pas d'autres solutions que de le suivre en courant.
Vous vous retrouvez désormais accroupi devant le conduit de nouveau fermé, Henry l'ouvrit sans problème a l'aide de ses mains puis il tourna ses yeux dans ta direction.
Tu essaies tant bien que mal de retenir tes larmes, elles te resserrent la gorge de plus en plus, tu ne pus t'empêcher d'éclater en sanglots.
Henry te prit dans ses bras et te caressa la tête tendrement. Soudain, tu pensa a l'idée que tu avais eut tout a l'heure dans ta chambre, tu vas donc essayer de lui enlever la puce de son cou.
- Henry, je vais t'enlever cette puce. Lui dit-tu d'un ton certain.
Il te regarda avec incompréhension avant d'enlever sa ceinture et de la coincée entre ses dents. Il se plaça contre le mur et retira ses cheveux t'empêchent de voir sa cicatrice.
Tu tendis le bras et te concentra, tu entends de petits gémissements de douleurs, ça marche. Tu t'écroula quelques secondes plus tard, a bout de forces, la puce est toujours dans son cou. Tu essaies et réessaies, du sang coule de ton nez et de tes oreilles. Tu essaye une dernière fois, cette fois-ci, un hurlement des plus torrides quitta tes lèvres et tu entendis le fracas de la puce contre le sol.
Tu t'écroula sur le sol, du sang coulait de ton nez, de tes oreilles et de tes yeux. Henry se leva pour aller chercher la puce, son cou désormais ensanglanté, il récupéra la puce et la regarda longuement avant de tourné la tête vers toi.
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Condamnés
FanfictionT/P T/N, 20 ans, autrefois appelée "Patiente n°0" se réveille d'un profond coma, la mémoire et tous ses souvenirs perdu. Elle se réveille aux côtés d'un vieil homme du nom de Martin BRENNER qui lui expliqua la raison de son long coma. Au fur et à me...