One shot anime/manga (LEMON) ship/reader/oc

Shoto x reader

Yo!
How are u today?
J'aime beaucoup shoto et je trouve son histoire émouvante Dcp petit one shot assez cute.
Bonne lecture :)

Tw: terrorisme, traumatisme

Je vais dead chuis entrain de relire mes one shot et je cite « assez cute »et bim j'annonce terrorisme et traumatisme💀💀💀 faudrait peut être que je revois la définition de mignon 🤣

Pdv: shoto

         Les cris striaient le ciel, des nuages noirs étaient apparus tout comme la pluie et l'orage. Le sang et l'eau créaient une rivière rougeâtre des plus sinistres affolant un peu plus la population, témoin de ce chaos où des débris, meubles et autres finissaient leur chute sur les malchanceux. Cette situation gravissime avait commencé depuis plus d'une quinzaine de minutes mais aucun héros n'était sur les lieux sauf ma personne, en premier lieu en tant que civile donc je n'avais pas mon équipement ce qui m'était à mon désavantage. L'absence de héros autre que moi était anormal alors tout en faisant de mon possible pour protéger ces citoyens, je recherchais le pourquoi du comment. En effet, la destruction des bâtiments n'avait pas été faite au hasard et dans le seul but de semer la terreur, nan les morceaux de béton formaient une sorte de barrière autour de la zone touchée ce qui rendait compliqué l'arrivée des renforts sauf par les airs. Problème, le vilain qui avait causé ce carnage devait attendre les secouristes et les évinceraient au moment propice par voie aérienne. Le seul moyen était de faire brûler les débris au moins sur certaines zones puis dès que la hauteur de ceux-ci permettait à mes collègues de passer, j'ai glacé ces zones. Le plan marcha avec brio et les héros affluèrent par dizaines.

          L'évacuation était presque terminé et certains héros étaient partis à la recherche du coupable. Quant à moi j'arpentais les allé à la recherche de dernier survivant, je tendais l'oreille et quelques appelles à l' aide se firent entendre en échos, la personne se trouvait à l'entrée d'un souterrain mais était ensevelie sous un débris. J'accourus vers la personne, je lui parlais pour la rassurer et lui donner des directives. J'avais réussi à l'extirper sans grande difficulté et maintenant ma mission était de l'amener en sécurité, l'une de ces blessures était assez grave et j'avais peur qu'elle s'évanouisse dû à la tâche de sang présente sur le sol. Son corps était marqué d'hématomes et si  je pouvais constater ses plaies, c'était par le manque de vêtements qu'elle possédait, j'enleva ma chemise et lui fis enfilé ce à quoi elle répondit d'un petit et timide remerciement. Elle tremblait et le seul hôpital proche était sûrement plein et ne l'accepterait que dans quelques heures. La seul option était de la confier au main expérimentée de Fuyumi...Celle-ci me soignait quand je me blessais et que je ne pouvais aller à l'hôpital pour ne pas froisser l'image du héros qui avait comme premier rôle oublié, père. Lorsque mes pieds quittèrent la glace, nous nous trouvions devant mon domicile dans lequel j'accourus à la recherche de mon aînée. Une fois celle ci trouvée, je lui confie la jeune femme inconsciente à présent. Elle resta auprès de la souffrante pendant plus d'une heure sans que je puisse rentrer. Je n'apportait seulement l'eau chaude et des serviettes propres. J'attendais avec une pointe d'inquiétude, cette inconnue était sous ma responsabilité, avait-je pris les bons choix? Ce n'était pas le moment du doute et en tant que héros, je devais me renseigner sur la situation après mon départ avec elle. L'évacuation civile avait été faite, seul les piégés des débris étaient à trouvé mais selon les infos une trentaine de personnes avaient perdu la vie où étaient introuvables ce qui était un bilan moins dur que ce qu'on aurait pu imaginer dans une tragédie telle quelle. Pourtant même si tout le monde remerciait les héros d'avoir sauvé les cinq milles autres personnes, moi, le souvenir des cris était extrêmement dur surtout celui de l'enfant que j'avais sauvé au péril de la vie de son père. Je n'avais pas su protéger tout le monde et je m'en voulais. Les journalistes m'applaudissaient pour avoir réussi à secourir ces milliers de personnes pourtant ces trente personnes ne voulaient sortir de mes pensées qui étaient centrées sur le fait que cette trentaine de disparus avait au moins un proche chacun qui lui aussi en avait et au final, je n'avais pas pu protéger plus de personnes que sur le papier et mon cœur se resserrait sous cette idée véridique ce qui la rendait plus amère que si tout ne venait de mon imagination.