Mon cœur patauge sous l'eau de tes pleurs.
Mon esprit s'esclaffe de ta peur
Je suis soulagé de t'entendre morfondre de douleurs.
Cœur Blanc, Esprit sauvage, je vis de sueurs en sueurs.Le vent ardent qui, d'un souffle de silence nomade, me choit les narines.
Les vagues, d'un calme olympien, toisent les colines.
C'est là, Tu es entrée au forceps dans les tréfonds de mon cœur blanc.
J'ai fais l'impossible, malgré moi, de te sortir de mes carcans.Je vole à minuit, vivre d'art, d'imagerie.
Je vole à minuit, vivre de folie, de phobie.
Je vole à minuit, vivre de mal, d'insomnie.
Je vole à minuit, vivre de fureur, de sauvagerie.
VOUS LISEZ
LES CONVALESCENCES
PoesíaD'où provient le bruit de ces vagues? Qui naviguent sans vigueur. D'où provient la danse de ces vagues? Qui émanent sans rigueur. La chanson de ces vagues résonne De loin à l'horizon, à la demeure Des ogres ocre. Elle tombe ,sombre de façon médiocr...