Lumière sombre luit les toiles
J'étais blousé, elle se voile
Tête flèche, elle a le visage céleste
Je la voyais marchant d'un pas leste
Ainsi gracieusement on se dévergondait
Inconsciemment de cette pudeur enguirlandée.Oh Eva !
Tu allies une alchimie
De la beauté séraphique pure
Je t'aime je te sacre l'amour
La séraphine de mes yeux glamour
Souriez, souriez le fruit des fleurs
De ta joux pleure
Comme un rossignol mou
Même les plus fous sont doux.
Oh Eva !
Tu allies une alchimie
De la beauté séraphique pure.
A peine, la nuit tombe dans les bras de Morphée
Rebelote ! Mes songes replongeaient dans les travées
Exquise, le regard toujours symétrique
Je la voyais comme dans un conte féerique
Aussi reluisante que l'éclaire des astres
En fait , c'était la pleine lune.
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LES CONVALESCENCES
PuisiD'où provient le bruit de ces vagues? Qui naviguent sans vigueur. D'où provient la danse de ces vagues? Qui émanent sans rigueur. La chanson de ces vagues résonne De loin à l'horizon, à la demeure Des ogres ocre. Elle tombe ,sombre de façon médiocr...