J'ai choisi la vie. (2)

CHAPTER 18

KEITH

Je n'aime pas les foutaises.

Uriel - Monsieur c'est pas ce que vous croyez..

Mon regard croise une Latisha honteuse.

- Je ne crois que ce que je vois. Que tout le monde reprennent son poste. Quant à ceux que je viens de nommer je vous veux dans mon bureau tout de suite.

Je monte grave énervé. Je ne rigole pas avec le travail. Ce genres de scène me mettent hors de moi.

- Émeline vous laissez entrer les 3 personnes qui arrivent.

Émeline - Bien monsieur.

Rapidement ils font tous leur entrer dans mon bureau.

- Asseyez-vous. Expliquez-moi ce qu'il s'est passé madame Moyo.

M.Moyo - Eh bien je suis arrivée au moment où Uriel criait sur Latisha.

M.Perrault - J'avais mes raisons.

- Rien ne justifie de telles comportements au sein de l'entreprise monsieur Perrault.

M.Perrault - Comment connaissez vous mon nom ?

- C'est moi qui pose les questions.

Con va.

- Qu'est-ce qu'il s'est passé pour que vous en arriviez à de telles extrêmes ?

M.Perrault - Elle est rentrée comme une furie dans mon bureau et s'est mise à m'agresser.

Latisha était silencieuse depuis le début.

- Mademoiselle Almeïda qu'avez-vous à dire pour votre défense ?

Latisha - Plutôt dans l'après-midi j'ai été accusée à tord. Et..

La connaissant elle ne voulait pas en dire plus pour ne pas causer plus de problèmes. J'admire ça en elle mais souvent ça n'a pas sa place. Elle devrait arrêter d'avoir peur de causer du tord. Surtout qu'elle est victime dans l'histoire.

- Continuez. Je vous écoute.

Latisha - Et en passant devant son bureau je l'ai clairement entendu parler avec une collègue et avouer les fait.

- Qu'avez vous à dire pour votre défense ?

M.Perrault - C'est faux. J'étais dans mon bureau toute la journée. Je n'ai pas pu envoyé de document mal traité depuis son bureau.

M.Moyo - Tu lui en parlé ?

Je les regardait à tour de rôle.

Latisha - Non.

M.Moyo - Comment tu sais qu'il s'agit d'un document mal traité envoyé depuis son bureau ?

M.Perrault - Elle.. elle a dit tout à l'heure..

Je voyais nettement les gouttes de sueur froides qui commençaient à perler sur son front.