{Manipulation} Ayanokoji x oc [Tome 2] [Terminé]

//Figure parentale//

(NDA : avant que vous lisiez je voulais préciser que ce chapitre et peut-être les prochains contiennent le passé de Mizaki. Donc ATTENTION ⚠️  TW ! extrêmeme violence et autres à prévoir ! Pour ceux qui ont un peu de mal je vous invite à attendre la fin des flash back. Bonne lecture. )

Je viens de rentrer avec Ayanokoji de l'entrevue avec ma mère et j'ai même pas le temps de respirer qu'il viens m'embrasser langoureusement.

Je répond avec passion et nous nous mettons sur son lit...

Je vous passerais l'intégralité des détails eheh...

Je m'endors peut après. Cependant mon sommeil est agité et je me réveille très violemment. Je sens ma transpiration perler dans ma nuque et ma respiration s'accélérer.

Mizaki : Je sais que t'es réveillé...

Ayanokoji : Ça va ?

Mizaki : ...

Ayanokoji: Des souvenirs te sont revenus hein ?

Je hoche la tête. Je me met à trembler de la tête aux pied. C'est jamais arrivé que je sois dans cet état devant quelqu'un.

Je reprend ma respiration.

Mizaki : Je... vais te raconter...

[Flash back]

Après avoir été menée de force sur la table des opérations, on m'attache les poignets, les pieds et la gorge. Ils me déshabille et me mette une tenue d'hôpital.

Les scientifiques basculent la table pour me mettre debout, mes pieds nus touchant le sol. Tout les assistant sortent, me laissant avec mon tuteur et mon géniteur. Ce dernier m'amène une bassine d'eau glacé.

Il me la verse sur la tête. Mon corps est pris de spasmes violent sous le froid. Mais le pire est à venir car mon tuteur récupère un petit fil électrique et le pause dans l'eau à côté de mes pieds. Il lance alors le courant.

Mizaki : *hurle* Au.... Au secours... j'ai mal.. Aahh.... stop... arrêtez...

Tuteur : Non non non... On va continuer. Jusqu'à que comme ton cher opposé tu sois sans aucune émotion.

Il éclate de rire avec l'ordure qui me sert de père. Après environ 5 min de décharges insupportables, il arrête le courant.

Tuteur : Ça va ? Toujours en vie ? Y a intérêt. Au pire on aurait expérimenté sur ton cadavre. Mais il hurlerait moins.

Il me détache et je tombe directement au sol.

Tuteur: Je te laisse l'expérimenter à ta guise.

Il sort de la pièce et ferme à clef. Je suis incapable de bouger, même quand il se ramène avec une sorte de valise avec des outils de chirurgie et d'autres éléments étranges que je ne reconnais pas.

(Je tiens à préciser qu'elle n'a que 10 ans à ce moment)

Géniteur : Ton cher papa va s'occuper de toi.

Mizaki : Comme daron j'ai vu mieux...

Géniteur : Tais toi pétasse.

J'arrive à peine à articuler tellement les électrocutions m'ont paralysée.

Géniteur : Je vais te punir pour m'avoir parlé comme ça.

Il s'approche et me frappe au visage plusieurs fois de suite, sans relâche, sans que je ne puisse bouger. Du sang s'accumule au sol, et je n'ai même pas la force de pleurer.

Je hurle quand je le vois sortir un scalpel pour me l'enfoncer dans la peau, de plus en plus, juste pour sa satisfaction. Cet enfer dure au moins une heure, au bout de laquelle il semble "s'ennuyer".

Géniteur : Depuis que ta mère est morte comme une merde sous mes coups *il marque une pause en souriant* je n'ai malheureusement plus personne pour me... défouler disons.

Je ne saisi pas tout ce qu'il dit mais vu comment il fouille dans sa valise avec un sourie pervers je craint le pire.

(TW  viol)

Il revient vers moi avec des menottes et m'attache les poignets au dessus de ma tête. Je suis toujours au sol lorsqu'il relève ma tenue d'hôpital jusqu'à moi poitrine. Je ne comprends pas ce qu'il fait mais sert mes jambes et détourne le regard.

Mon géniteur m'attrape le visage, m'obligeant à regarder. Il baisse son pantalon, et je tremble comme une feuille. Je ne veux pas savoir quelle idée il a encore eu pour me faire du mal...

Il colle son corps sur moi et rentre entre mes jambes. C'est très douloureux mais pour ne rien arranger il se met à donner des sortes de coups mais ma vision est trop flou pour que je comprenne ou me débatte. J'ai jute envie de vomir.  Il me fait de plus en plus mal  et je sens quelque chose s'écouler. Il se retire violemment et me tappe sur la joue.

(Fin TW)

Géniteur : Et voilà t'es très bien comme pute finalement.

Je tombe dans les pommes, incapable de tenir plus longtemps.

[Éllipse]

Je me réveille toujours au sol, mais cela doit faire un moment car l'eau s'est évaporée. J'ai l'impression que mon cœur a disparu. Je me sent vide. Juste vide. Vidée d'énergie. De confiance. D'affection. Toute ses choses sont absentes. Mais, je n'en récent même plus le besoin.

Deux infermers rentrent. Ils m'attrapent les poignets,

Infirmier : Allez petite. On t'emmène dans ta cellule.

Je me laisse faire. Ils me traîne jusqu'à une petite chambre sans fenêtre, juste une porte transparente en verre trempé, avec juste une couchette. Je me couche dessu, même si on dirait de la pierre, je m'endors assez vite. Un sommeil lourd, sans rêve, avec seulement l'image de mon géniteur gravé dans mon esprit.

Le lendemain, on m'a donné un morceau de pain et un verre d'eau. J'aurais aimer pouvoir pleurer, mais je me savais surveillée. Je devais être... forte. Pour moi. Enfin j'espère.

Je repère la caméra, pointé sur moi. Je ne vais pas rester là longtemps. Je vais m'échapper. Coûte que coûte. Mais quelque chose me reviens : Qui est ce garçon dont ils ont parlé ?

Si il est comme moi, je doit l'aider. Alors je le voilà mon objectif : Sauver celui pour lequel j'ai été amené ici. Qui sait, reussirai-je peut-être un jour ?

Un instant après cette réflexion avec moi-même, un infirmier arriva avec un objet entouré d'un morceau de tissu. Il le dépose et repart. Sur le tissu, le mot mortem, la mort, en latin. J'ouvre donc, et à l'intérieur, une dague. Ils me laisse donc le choix.

Préférai-je mourir ou vivre dans cette souffrance ?