Marco continua à suivre Ace, qui conduisait la femme un peu partout, profitant qu'Ace montre quelque chose dans une vitrine, faisant tourner la tête de la femme pour la détailler.
La femme était mince, bien qu'il sentait une certaine force chez elle, la sous-estimé pourrait être dangereux, La femme était vêtue d'un pantalon blanc mi-mollet, d'un chemisier noir avec un col plongeant, et d'un foulard vert sur le haut de sa tête, la femme portait pour simple bijou une paire d'anneaux doré.
Marco devait reconnaitre que la femme était belle, même si elle rappelait à Marco cet agaçant d'Akagami Shanks.
La journée se fini avec Ace et la femme perché sur un toit à observer le Moby Dick, avant Qu'Ace ne raccompagne la femme devant un étrange bateau. Marco continua de regarder Ace faire des signes à la femme qui s'éloignait au loin.
-Tu n'étais pas obligé de nous suivre tout le temps Marco. Lui dit Ace sur le ton de la réprimande.
Le reproche de son frère surprit Marco autant que d'apprendre qu'il s'était fait repéré.
-Depuis quand c'est tu que je te suis ?
-Le restaurant, elle t'a remarqué. Répondit Ace en prenant la direction du Moby Dick, étant bientôt l'heure de lever l'ancre.
-Qui est-ce ? Demanda Marco alors qu'ils arrivaient finalement au Moby Dick.
-Ma mère, je ne l'ai pas vu depuis six ans, elle a appris que j'avais rejoint votre équipage et elle voulait savoir si j'allais bien.
-Elle tient beaucoup à toi. Fit remarquer Marco en montant à bord.
-Ouais, et Pops va avoir le droit de se faire remonter les bretelles.
-Pourquoi ? Demanda Marco en s'arrêtant, regardant son frère qui affichait un sourire qui rappelait beaucoup le Commandant Tatch, quand il attendait le résultat d'une de ces farces.
-Okaasan peut-être très possessive envers mes frères et moi et apprendre que le vieux m'a revendiqué comme son fils... Disons, qu'elle va se montrée un peu méchante.
Ha au faite, elle m'a dit de te donner sa.
-Qu'est-ce que c'est ? Demanda Marco en récupérant la lettre que lui tendait Ace.
-Aucune idée, okaasan a juste dit que c'était très important et que je devais te la remettre.
-Pourquoi à moi ?
-Parce que si tu as déjà oublié, Okaasan n'aima pas beaucoup Pops pour l'instant et qu'elle ne veut pas qu'il déchire sa lettre avant de l'avoir lu.
Marco regarda son frère vaqué à ces occupations sur le pont, espérant que l'équipage n'aurait pas à faire à une deuxième tête brulée en quête de celle de leur Pops.
Marco eut sa réponse quelques jours plus tard, quand Tatch vient lui annoncé que toute, et quand Tatch disait toute c'était TOUTE, la réserve d'alcool du Moby Dick avait disparu ; même la réserve personnelle de Pops avait été vidée.
Pops pouvait accepter beaucoup de chose, qu'on attente à sa vie pendant cent jours, ok ; qu'on insulte son âge, ok ; mais jamais, il ne tolérerait qu'on touche à son précieux alcool, JAMAIS ! Personne ne s'en prenait à sa famille ou à son alcool et aujourd'hui quelqu'un l'avait fait et ce quelqu'un allait être retrouvé et sévèrement puni... Dès qu'il aurait refait sa réserve d'alcool à la prochaine île, ce qui ne serait pas avant un mois. Les jours allaient être longs et gare aux petits morveux qui viendrait à lui au nom de la justice ou de je ne sais qu'elle envie de grandeur, il n'avait pas le patience pour ces gamineries.
Pendant ce mois d'abstinence seules les infirmières y trouvèrent quelque chose de positif, les résultats médicaux de Pops étaient très bon, le jus de fruits et l'eau à la place de l'alcool avait fait beaucoup de bien à son corps, mais pas à son caractère. Tout le monde étaient content que leur Pops se porte mieux, bien que personne n'était assez fou pour lui dire, ils souffraient tous de cette abstinence forcée.
Le seul qui semblait s'amusé du malheur de Pops et de ces enfants était Ace et Marco savait très bien pourquoi, bien que le Commandant était très intéressé à savoir comment la femme avait réussi cet exploit, après tout peut de personne savait ou était la réserve de Pops, bien que au vu du contenu de la lettre qu'Ace lui avait remise, le vol en tout genre, était la spécialité de la femme.
Clém fixait la caravelle à tête de bélier à laquelle elle collait son bateau plus petit. Le silence régnait à bord de la caravelle faisant croire à un bateau fantôme, pourtant Clém était sur de voir une tête avec des cheveux verts, posé sur des mains sur l'une des balustrades, visiblement c'était l'heure de la sieste sur le petit bateau.
-OOOOYYYYYYYY !!!!! MUGIWARA ! Cria Clémentine.
Aussitôt un grand remue-ménage se fit entendre et plusieurs personnes s'adossèrent à la balustrade pour voir qui avait troublé le calme à bord de leur bateau.
-On peut vous aidez ? Demanda une jeune fille rousse à Clémentine avant d'être soudainement coupé par un retentissant : «Gomu gomu no rocket ! »
Clém eut tout juste le temps de prendre une inspiration avant d'être expulsé de son bateau par un OVNI qui la percuta de plein fouet l'envoyant à la mer.
Réagissant aussitôt au contact de l'eau, Clémentine agrippa l'OVNI et le colla contre elle.
Clém fut contente quand elle vit un homme aux cheveux vert nager vers eux, Luffy, l'OVNI qui l'avait percuté, était un poids mort dans ces bras. Grace à l'aide de l'homme aux drôles de cheveux Clémentine et Luffy se retrouvèrent rapidement sain et sauf sur le pont de la caravelle.
-Franchement Luffy, tu es irresponsable. Soupira Clémentine en se relevant avec l'aide d'un jeune homme blond en tenu de cuisinier.
-Shishishi, ouais, mais tu m'aime comme ça Okaasan. Répondit Luffy.
-OKAASAN ???? Hurlèrent de surprise l'équipage de Luffy.
Après sa baignade pas trop voulu, ils avaient tous déménagés dans la cuisine ou le cuistot avait tout de suite prit en charge la préparation d'une boisson chaude pour leur invitée surprise.
-Merci. Dit Clémentine en acceptant la tasse de thé que lui offrait le cuistot : Alors, vous êtes l'équipage de mon fils. Parlez-moi de vous ?
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Okassan
ФанфикClémentine Johansson adopte l'ASL tout trois âgé de dix et sept ans et décide de montrer à ces garçons qu'ils peuvent être aimé sans conditions, mais c'est toujours plus facile quand on vit dans un monde ou la piraterie à disparue. Le jour ou la pet...