Lola

La rencontre

Etendu sur lit, sous une épaisse couette chaude et confortable, la jeune Lola ouvre les yeux. Encore dans le flou de qu'il c'était passé elle s'assied dans ce grand lit et regarde autour d'elle. La pièce sombre était silencieuse, seul le son de la pluie s'abattant contre les fenêtres se faisait entendre. Elle ne savait pas où elle se trouvais mais se rappelais vaguement de la silhouette de l'homme qui lui avais visiblement sauvé la vie. Près du lit se trouvait un magnifique fauteuil au tissus beige, sur lequel était soigneusement disposé des affaires de toilette, une serviette et une très belle robe blanche.

Ce levant alors lentement, elle s'approche du fauteuil et passe une main sur la serviette, un mot avais était délicatement posé à son attention, un mot lui indiquant qu'elle pouvait avoir usage de ces choses et prendre un bain si elle le désiré. L'idée de pouvoir se détendre dans une eau chaude lui fit fermer les yeux et affichais un léger sourire. Il est vrai que cela faisait quelques jours que la jeune femme n'avais pas pris de bain et après avoir passé un certain temps dans l'humidité et la boue cela ne lui ferais que du bien. C'est alors avec une légère timidité qu'elle prit les affaires afin de se diriger vers une porte entrouverte donnant sur une belle salle de bain luxueuse aux couleur blanche et noir. Un bain chaud avait été préparé, l'eau fumante laissé échapper un doux parfum de rose que la jeune femme semblait apprécier. Visiblement son sauveur semblait d'être un homme avec du raffinement, du goût et surtout de la richesse. 

Retirant sa robe sale et déchiré, elle s'avance vers le bain et y plonge avec délicatesse ne pouvant retenir un profond soupir de soulagement. Elle avait l'impression que tout son corps se détendais dans l'eau chaude. Son corps couvert de petite entaille lui procuré des sensations de picotements qui la faisait légèrement grimacer bien que cela ne durait qu'un court instant. Elle regardait autour d'elle d'un air assez serein et pris le savon en forme de rose posé sur le rebord de la baignoire. Il sentait tout comme l'eau, délicieusement bon la rose. Avec délicatesse elle venait ainsi savonner sa peau la couvrant d'une petite mousse blanche. Ce moment d'intimité était pour elle comme une renaissance et elle en profitait jusqu'à ce que l'eau de son bain ne soit plus assez chaude pour qu'elle y reste. Aussi tout aussi gracieusement que lorsqu'elle y mit les pieds, elle sortait de la baignoire et enroulais la douce serviette sur elle. Elle prit ainsi plus de temps pour mieux observer la pièce et remarquais qu'il n'y avait aucun miroir. Cependant tout semblais très bien entretenu. 

Alors qu'elle avait passé la belle robe blanche qu'on lui avait déposé, elle sort dans un grand couloir dont le sol était couvert d'un tapis rouge bordeaux. Des tableaux accrochés au mur semblais très ancien et représentais pour la plupart des paysages, représentant surement des endroits variés du monde. L'ambiance calme et silencieuse de la demeure dans laquelle elle ce trouvais donnais l'impression que le temps c'était suspendu. Seul le son de ses pas résonné dans ce long couloir qu'elle arpentait lentement. C'était une sensation étrange, un tel endroit si calme mais si bien entretenu, la jeune femme ne pouvait s'empêcher de se demander ou était passé les employer de maison, et surtout où se trouvait le maitre de ces lieux. Non seulement il lui avait sauvé la vie mais lui avais également offert un refuge dans ces lieux terrifiants. Elle se devais de le remercier comme une jeune femme de son rang le devais. C'est donc a la recherche de cet inconnu qu'elle déambulais dans cet immense labyrinthe de couloir et d'escaliers. Elle ne comptait même plus le nombre de porte, de chambre ou de pièces vide qu'elle avait passé.

Avançant d'un pas lent elle perçoit soudain le son d'un piano resonné. Le son était faible mais elle savait maintenant vers ou se dirigé. C'est ainsi qu'elle se guida de la mélodie pour descendre finalement un grand escalier. Un immense lustre d'or et de diamant surplomber la salle en contre bas, bien que venant d'une famille noble la jeune femme semblais émerveillée et surprise par tant de beauté. Ce niveau de richesse devait être digne de celle d'un roi. Descendant le grand escalier elle pouvait entendre le son du piano s'intensifier peu a peu. Aussi lorsqu'elle arrivait au pieds de ce dernier elle regardais autour d'elle, une immense porte en bois et une petite table au centre de la salle laissé pensais qu'il s'agissais la de l'entrée de la demeure. Entre les deux escaliers était disposé au mur un immense tableau représentant une famille. Il lui semblait avoir déjà vu ce tableau quelque part mais peut être n'était ce qu'une impression.