party in manhattan

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J A K O B

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J A K O B








— Je regrette déjà d'être sortie de chez moi.




Le mexicain rit tout excité, alors que je jure lorsqu'on me prend la place que je comptais prendre. Je suis donc obligé de continuer à roder, à la recherche d'une nouvelle place. Voilà pourquoi je déteste conduire ici, il n'y a pas de places et les parkings valent chères pour ce qu'ils sont.





— Ce soir, il fait en se frottant les mains, je baise.





— Qui accepterait ta grosse tête ? Fait Jevonte derrière.





— Ne l'écoute pas Carlos, fait Vanessa en frappant l'épaule de Jevonte, tu es le plus beau de ce groupe.


— Elle dit ça juste pour ne pas te blesser, ne crois pas cette femme. Ce sont toutes des sorcières. Finit Davis.




Je souris amusé, et finit par enfin trouver une place. Un parfait créneau, et voilà que la voiture est enfin garée. Je coupe le moteur et enlève le contact.




— Qui est sam ce soir si jamais Jakob boit comme un trou ? Demande Vanessa.


— Je ne compte vraiment pas boire. Je fais en ouvrant ma portière après avoir vérifié qu'il n'y ait pas de cycliste. J'ai cours à huit heures trente, et le soir j'ai ma première classe de tutoring.



— C'est ça, tu vas encore finir comme la dernière fois, assis dans la rue en train de fumer un joint avec un crackhead.




Je grimace alors que les quatre rient, se remémorant de cette soirée. Quelques jours après ma rupture avec Camila, après m'être morfondue enfermé chez moi, j'avais accepté de sortir avec le groupe et autant dire que je n'ai aucun souvenirs de cette soirée et j'en ai bien honte. C'est la première fois de ma vie que j'ai autant bu, et pour avoir vu les vidéos, j'étais vraiment en piteux état. Au point de fumer avec un crackhead, c'est révélateur de mon état lors de cette soirée.


Nous entrons dans un grand bâtiment et lorsqu'on arrive au trentième étage, je ne suis pas surpris d'entendre de la musique à même l'ascenseur. Dans le couloir nous suivons donc la musique, Carlos qui toque contre la porte. De longues minutes plus tard, on nous ouvre enfin. C'est un géant à la peau noire qui nous ouvre la porte, et juste dans son style de parler et de nous amicalement, je devine qu'il doit être basketteur. Je souris sympathiquement lorsqu'il se présente à moi comme Gianni. Nous entrons enfin dans l'appartement plein à craquer, nous devons jouer un peu des coudes pour parvenir à suivre l'organisateur de la soirée.


 𝐂𝐎𝐋𝐔𝐌𝐁𝐈𝐀  ; 𝘯𝘺𝘤 𝘤𝘪𝘵𝘺 𝘦𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant