a weekend in Copenhagen

464 38 2
                                    


J A K O B

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.


J A K O B











   Lorsque les roues de l'avion se posent sur le sol de l'Airport Copenhagen, je souris content de rentrer chez moi. Ça fait un mois et demie que je n'ai pas mis les pieds à Copenhague à cause des mes voyages. J'ai finalement accepté de venir au gala de charité organisé par l'entreprise de mon père, et j'ai aussi accepté de poser de nouveau pour la marque de ma soeur. Il y'a deux ans elle a sortit sa propre marque de prêt à porter de luxe. Cette année, sa collection marche très bien, elle a déjà organisé deux défilés, un à Copenhague et l'autre à Londres.


Depuis que j'ai accepté l'année dernière de poser pour elle car apparemment, j'étais le mannequin parfait pour introduire sa nouvelle collection, j'ai l'impression qu'elle veut que je devienne son model à temps plein.

Une fois ma valise récupérée, tout comme les autres passagers de mon vol, je me dirige vers la sortie cherchant le visage de ma mère ou de ma soeur. Je n'ai pas besoin de chercher plus loin, lorsque j'entends mon prénom crié par deux voix aiguës. Je souris en faisant le tour pour m'approcher de ma soeur et ma mère, et à peine j'arrive à leurs hauteurs que ma mère vient immédiatement me serrer dans ses bras.




—   Oh mon chérie, tu m'as tellement manqué. Regarde toi, tu es tout beau!


Elle presse mes joues entre ses mains manucurées et pose de nombreux baisers sur mes joues, créant mon rire.




—   Maman, c'est bon. La honte là.


Elle rit légèrement et embrasse mon front avant de me lâcher, mais une fois encore, c'est ma soeur qui vient me serrer dans ses bras. Je l'enlace en retour en posant mes lèvres sur son front, et ris lorsqu'elle me renifle.



—   Y'avait intérêt à ce que tu utilises le parfum que je t'ai offert.



Je ris légèrement, cette dernière qui me lâche. Nous rejoignons rapidement le parking, une fois ma valise dans le coffre, avec joie je découvre qu'on m'a laissé le siège conducteur, ma soeur à l'arrière et ma mère côté passager.



—   Je vois que ça restera toujours moi le larbin de service.


Je prends place donc derrière le volant, réglant le siège de la maserati à ma hauteur et le recule. Une fois le contact mis, je sors du parking et voit enfin l'extérieur.




 𝐂𝐎𝐋𝐔𝐌𝐁𝐈𝐀  ; 𝘯𝘺𝘤 𝘤𝘪𝘵𝘺 𝘦𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant