happy birthday jakob

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 J A K O B

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J A K O B








   Jamais dans mes dix neuf ans d'existence et bientôt vingt, je n'avais passé un trente et un décembre ainsi. Je m'étais excusé auprès de mes amis que j'ai délaissé la veille et maintenant pour la journée.


Je suis rentré chez moi aux alentours de onze heures, seulement pour prendre une douche et changer de vêtements avant de ressortir et rejoindre le bout de femme qui m'a promené dans tous New York presque. Nous nous sommes même retrouvé à Jersey City, première fois que je mets les pieds dans le New Jersey. Il est à présent dix sept heures, et nous voilà dans un restaurant qui font les meilleures gaufres selon la ghanéenne.


Nemesis est quelqu'un de lente en général. Elle est sacrément lente. Elle marche lentement, elle parle quelque fois lentement à la limite de me pousser à la presser. Elle mâche lentement, la preuve, nous avons reçus nos plats il y'a quinze minutes, j'ai finis mon plat, et elle n'en est même pas à la moitié de ses frites et de sa gaufre. Elle préfère me montrer les robes entre lesquelles elle hésite ce soir, et des photos de son petit cousin, Andy, de quatre ans.


Avec toute la nourriture qu'elle s'enfile, je ne comprends pas comment elle fait pour rester aussi fit. Tous se stock comme il faut partout. Ce matin elle était ballonnée après le petit déjeuner. Après qu'on ait regardé une vidéo youtube expliquant les gestes à faire pour diminuer le ballonnement, j'ai effectué tous ces gestes et son ventre est redevenue plat en l'espace d'une heure trente. Elle a l'air aussi de stocker tous ça dans sa poitrine, et non, je ne suis pas un pervers, j'ai juste eu ses seins sous le nez toute la matinée à cause de ma taille, et à cause de son décolleté. Il doit faire zéro degrés, et cette dernière n'a pas froid. La grosse écharpe et sa doudoune lui suffit, alors que même moi qui viens d'un pays froid, j'ai sortit le bonnet, la polaire et la doudoune.







—   Tes seins ils ont grossis non ? Je demande la coupant dans son récit.





Elle me lance un regard blasée, pas parce que je lui ai posé cette question, mais parce que je l'ai coupé.


—   Je ne suis pas enceinte Jakob. Ça doit juste être les effets de secondaire de mon implant.


—  Pourquoi un implant ? La dernière tu m'as dis que l'idée de t'implanter un bâton dans le bras t'effrayait.



—   Oui mais je n'en peux plus de mes règles. Elles me font un mal de chien comme tu ne peux pas savoir. J'en vomis sans mes médicaments, ce n'est presque plus vivable. Je n'ai qu'à les avoir une dernière fois puis leur dire bye bye pendant deux mois ensuite.






 𝐂𝐎𝐋𝐔𝐌𝐁𝐈𝐀  ; 𝘯𝘺𝘤 𝘤𝘪𝘵𝘺 𝘦𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant