Ace

Parker

POV d'Ace :

Les yeux verts du petit garçon regardèrent vers Sofia. « Heyy, quel est ton nom » Sofia parlait d'un ton doux et affectueux. « Parker », le petit garçon blond gémissait. Sofia était assise près de lui, les jambes croisées et le dos affaissé. « Je suis Sofia », elle a souri un peu avant de me regarder. « Voici Ace », elle m'a montré du doigt. Les yeux de Parker se sont élargis alors qu'il sautait dans ses bras. « Xavier ne l'aime pas » Parker a pris Sofia dans ses bras, posant sa tête sur son épaule. Sofia l'a tenu doucement pendant qu'elle me regardait.

« Xavier Hart » J'ai serré ma mâchoire avec colère. Il était le chef de la mafia que nous avons détruite. « Le chef des rouges », ai-je dit, informant Sofia pendant que les pensées me traversaient la tête. « Sofia, nous devrions probablement parler après ça » J'ai grogné, mon cœur s'est effondré pour l'enfant. La plupart des prisonniers qu'on a trouvés n'étaient pas vivant.

Et juste comme ça, la douleur de perdre ma mère est revenue en un clin d'œil, creusant un trou vide dans ma poitrine où était son amour. Elle ne pouvait pas me protéger de mon père, elle ne pouvait pas l'arrêter, mais je savais qu'elle n'aimait pas me voir souffrir.

« Ace? », Sofia m'a appelé. J'ai répondu en fredonnant. « Demande à un de tes gardes d'aller acheter des vêtements pour l'enfant. Les vêtements de Parker sont sales et déchirés », a déclaré Sofia avant de commencer à parler à Parker, lui demandant ce qu'était sa nourriture préférée.

Je suis sorti de la cellule nonchalamment et je suis descendu dans le couloir. « Patron, nous avons besoin que vous obteniez des réponses d'une balance », a crié un garde au hasard. « Ne vois-tu pas que je me dirige vers toi, il n'y a pas besoin de crier » Je lui ai répondu en hurlant, le faisant presque mourir de peur. « Où est-il ? » J'ai grogné vicieusement en passant devant les cellules. Nous avons marché pendant une minute ou deux avant d'atteindre la cellule droite.

« Il est dans celui-ci » pointé le garde. Je suis entré dans la cellule pour voir un jeune homme décent assis sur une chaise, attaché avec des chaînes autour des poignets et des chevilles. J'ai vu l'épuisement sur son visage, il pouvait à peine se tenir la tête. « D'accord, je ne suis pas d'humeur à jouer à des jeux de merde, de quelle mafia êtes-vous ? » J'ai grogné avec colère, en saisissant ses cheveux, et en le faisant me regarder. « Ta Mafia » il a gémi, ses yeux luttant pour rester ouverts. J'ai pris une profonde inspiration avant de le frapper au visage.

« Ne me faites pas redemander », lui ai-je crié en pleine face en essayant de lui faire peur. « Je ne peux pas vous le dire parce que je ne sais pas », s'est-il écrié de douleur. J'ai soupiré en secouant la tête. « Je ne voulais pas avoir à faire cela, mais tu l'auras voulu » J'ai grincé des dents et je me suis pavané hors de la pièce. « Donnez-moi le chalumeau », ai-je demandé au garde. Sans hésiter, le garde s'est enfui pour le récupérer.

« Pour l'amour de Dieu », j'ai murmuré sous mon souffle, fixant l'homme qui ne pouvait pas avoir plus de 21 ans. Je suis peut-être cruel, mais cela ne veut pas dire que j'aime voir des gens mourir. Qui aimerait voir des gens mourir ? Regarder la vie s'écouler d'une personne est effrayant à regarder, même pour moi. J'ai tué un nombre incalculable de fois, donc ça n'a plus vraiment d'effet sur moi, mais quand des jeunes meurent, c'est tellement plus tragique.

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XOXO de Kynee