Rien

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POV d'Ace :

Elle s'était endormie assez rapidement après notre conversation, je ne la blâme pas. Elle attendait seulement de dormir jusqu'à ce que j'entre.

Elle ronflait légèrement me faisant rire tranquillement. Ce sont les petites choses que j'aime chez elle, les choses simples, la couleur de ses cheveux ou la façon dont ses yeux brillent quand elle est heureuse. Elle est belle à regarder et je pourrais la regarder toute la journée si j'avais le choix sans paraître flippant.

Elle s'est mise à remuer, faisant évidemment un cauchemar. « Sofia », lui ai-je chuchoté en essayant de la réveiller. « Arrête » Elle m'a fait taire avant de saisir mon bras et de l'enrouler autour d'elle. Je ricanais en essayant de me taire ; elle était forte quand elle voulait quelque chose.

Une partie de moi pensait que je ne me retrouverais jamais dans le lit d'une fille si heureuse en la tenant. Je savais qu'elle se glissait lentement dans mon cœur, mais je ne pouvais pas l'arrêter. J'espère juste que je ne la ruine pas comme je ruine tout le reste.

« Je suis peut-être la personne que tu aimes le plus, mais tu es la seule personne que j'aime » murmurai doucement dans son oreille, lui faisant un baiser sur le front avant de m'endormir.

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Je me suis réveillée avant Sofia et j'ai pris mon journal dans ma chambre avant de remonter dans le lit à côté d'elle.

« Elle a l'air si paisible. Je lui ai dit qu'elle était la seule personne que j'aimais hier soir. Elle dormait, mais je lui ai tout de même dit 'bébé' après tout. Elle m'a dit que j'étais la personne qu'elle aimait le plus. Je ne pouvais pas imaginer être la personne préférée de qui que ce soit, mais apparemment, je suis à elle et elle est à moi. »

« Qu'est-ce que tu écris ? » murmura-t-elle avec lassitude, se blottissant contre moi. « Rien... » J'ai laissé échapper un soupir. « Quelle heure est-il ? » demanda-t-elle en clignant lentement des yeux. « 8 heures » J'ai regardé l'horloge. « Oh, elle marmonnait sans émotion.

Son souffle s'est attaché comme si elle voulait me dire quelque chose, mais elle n'a rien dit.

« Merci de ne pas être un trou du cul Ace » murmura-t-elle enfin. « Je suis un trou du cul » murmurai-je confusément. « Pas pour moi, mais pourquoi moi ? » murmura-t-elle presque. « Pourquoi quoi ? » J'ai répondu encore une fois confus, elle n'était pas logique et je n'avais aucune idée de ce qu'elle allait demander. « Pourquoi vouliez-vous m'épouser parmi toutes les personnes ? » Elle répondit avec un regard triste sur son visage.

J'ai dû y réfléchir. Pourquoi était-ce elle ? Elle est magnifique, mais ce n'était pas son apparence. « J'ai vu la façon dont votre père vous traitait » J'ai finalement parlé. Elle m'a immédiatement regardé avec ses grands yeux bruns. « Comment ? » Elle a parlé d'un ton doux en jouant avec ma main. « Je pouvais le voir dans tes yeux, ta peur de lui, même si tu as essayé de le cacher » marmonnait lentement à elle. « Tu étais si heureuse ; tes yeux étaient remplis d'excitation et d'émerveillement jusqu'à ce que tu regardes dans sa direction. A chaque fois que ton sourire se faisait voir, tu suppliais de t'éloigner de lui et je suppose que j'ai cédé parce que je savais ce que c'était » J'ai parlé doucement avec un ton silencieux. « Sans parler du fait que tu avais l'air bien dans cette robe, mais nous la garderons pour une autre fois. » J'ai souri effrontément.

Elle n'a pas répondu mais j'ai vu un petit sourire sur son visage après ma dernière phrase.

« Il me tuait lentement et me vidait mentalement » dit-elle les yeux fermés alors qu'elle était allongée sur ma poitrine. « Était-ce seulement toi ? » J'ai demandé à hésiter à la contrarier.

« Oui, la plupart du temps, il y en a qui sortent » Elle a fermé les yeux, essayant de ne pas se souvenir des souvenirs douloureux.

« Il n'aura jamais l'occasion de mettre un autre doigt sur toi ou sur un autre homme pour ce fait tant que je serai là », ai-je déclaré de façon protectrice. Sofia s'est assise, rompant notre contact. J'ai immédiatement ressenti le besoin de la garder à mes côtés. J'avais hâte de la toucher. J'ai craint tellement de l'embrasser parce que je sais que quand je le ferai, une autre femme ne pourra jamais prendre sa place.

« Donc, en d'autres termes, tu es tout ce dont j'ai besoin ? » Elle a marmonné sarcastiquement avec un sourire. « Exactement » Je l'ai ramenée sur le lit. Je nous ai renversés pour être au-dessus d'elle, alors que Sofia laissait échapper un rire, me faisant sourire. J'ai couru mon doigt le long de son estomac tandis que je fermais les yeux, prenant dans la sensation de notre toucher. J'ai mis ma main sur sa hanche et elle m'a regardé avec ses yeux innocents, brillant de désir.

« Non » Je lui ai jeté un coup d'œil. « Pourquoi pas ? » Elle a boudé. « Je ne te mérite pas » J'ai admis en passant mon doigt sur sa lèvre inférieure. « Pas encore du moins » Je lui ai caressé la joue. Elle avait l'air un peu déçue quand elle s'est penchée dans ma main, mais c'est bon de savoir qu'elle me veut. « D'accord » hocha la tête. « Pour l'instant, nous pouvons le faire. » Je lui embrassai le cou grossièrement en tenant sa taille. Un gémissement échappa à ses lèvres. Elle rougit un peu quand ma main a relevé son t-shirt. C'est alors que j'ai réalisé qu'elle n'avait pas de soutien-gorge.

« Nous ne devrions probablement pas ». Je l'ai regardée avec des yeux lubriques. « Mais nous devrions » a-t-elle souri en attendant que je continue. « J'ai l'impression que tu es plus perverse que moi » Je l'ai questionnée avec un regard éblouissant. Un sourire diabolique est apparu sur son visage. « Suis-je toujours innocente ? » J'ai levé les sourcils en secouant la tête. « Qu'est-ce qui t'excite ? » Curieusement, je lui ai demandé, planant sur son corps. « Stuff » elle rougit d'un sourire. « Dites-moi ! » Je me penchais plus près d'elle, presque exigeant. « Dominance » qu'elle laissait sortir. Ce que j'étais en ce moment, ce que j'étais constamment. J'ai chanté de façon satisfaisante.

« Quoi d'autre ? » Curieusement, je fronçais les sourcils. « les mordillements, les bisous dans le cou, tu passes ta main le long de l'intérieur de ma cuisse, tu me mords l'oreille » a-t-elle mentionné. Mince, elle peut être allumée assez facilement. Il me prend un certain temps habituellement, mais avec Sofia juste la pensée de son être. Je ne pouvais même pas y penser sans être excité.

On a déconné un peu avant que j'aille m'occuper de ces conneries avec la mafia.

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XOXO de Kynee 

AceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant