HUF.

Chapitre 4: l'aveux.

Après mon entraînement je rentre et prends ma douche. Ne sachant pas si l'apollon allé m'appeler, je décide de regarder une de mes séries préférées, American Horror Story. Plus d'une heure est passé, moi, qui suis très impatiente, je regarde mon téléphone toute les cinq minutes. Après dix minutes d'attente celui-ci m'appelle. Un réflexe complètement débile, je me regarde dans le miroirs, me recoiffant, et souriant comme si il était en face de moi.

« - Allo ? Je le questionne, le cœur battant fort.

- Ouais miss ! Alors ? Je paris que tu pensais que je n'allais pas t'appeler ? Dit-il d'une voix moqueuse.

- Alors pas du tout ! D'ailleurs tu viens de m'interrompre en plein dans ma série !

- Ah ! Et bien, il n'y a pas de soucis je raccroche alors ! Plaisante-il.

- Non ! M'écriais-je. Euh.... Il faut que je trouve une excuse. De toute manière tu n'oseras pas ! Le provoquais-je.

- Ah ouais ?

- Euh... OUI ! Un silence s'installe au téléphone.

- Oui tu as raison ! Il s'exclame. Comment peux-tu savoir que je n'allais pas raccrocher ?

- Tu es trop gentil pour cela !

- Et puis, en plus tu n'en n'avais pas envie ! Donc je n'allais pas te raccrocher au nez !

- Tu es un menteur Yann ! Et puis, comme je te l'ai dis, je m'en fou ! Ricanais-je.

- Je ne mens pas ! »

Nous épiloguons sur ce sujet pendant au moins un quart d'heure, il est gentil, vraiment.

« - Tu sais Kate... hésite-t-il.

- Quoi ? M'exclamais-je le cœur battant extrêmement fort.

- Tu pourrais t'achetais tes propres clopes quand même. Ricane-t-il. Je suis ton tabacs personnel ! »

Sous sa remarque je pouffa de rire de la à en avoir mal au ventre. Nous avons passer plus de deux heures au téléphone, Yann est un garçon plutôt honnête, gentil, qui m'a l'aire romantique, et aussi avec beaucoup d'humour. Mais il a l'aire trop parfait... Il doit bien il y avoir quelque chose qui cloche chez lui. Toute la nuit je suis rester a réfléchir sur les qualités de l'Apollon cherchant la moindre faille du genre qu'il essaye de donner, mais je sais qu'il y a quelque chose qu'il cache.

Pendant ces trois dernières semaines je n'ai fait que passer mon temps avec Camille lui racontant les détailles de mes rendez-vous téléphoniques avec Yann, et j'ai enfin quitter Florian, qui, a présent, et un très bon ami et mon anniversaire et reportait chaque week-end.

Ma douche terminer et une petit rigolade avec Jonna que mon cellulaire sonne déjà car l'apollon ne me lâche plus depuis. J'adore cette manière qu'il a de me parler, comme si dans tout se qu'il disait, il y croyait. C'est incroyable.

« - Kate ? M'interroge-t-il.

- Oui ?

- Demain tu vas au gymnase ?

- Aucune idée il faut que je voie ça avec Camille. Pourquoi ? Je le questionne, perturber de sa question.

- Il faut que je te parle. Déclare-t-il d'un ton sec.

- Oulah !!

- Non mais t'inquiète, je ne peux juste pas t'en parler au téléphone. Tu vois ? Il me rassure.

-Oh . »

Cette soiré n 'est pas différentes des autres. On épilogue sur des sujets qui ne nous concerne pas, et même quelque fois, il m'avoue qu'il est jaloux de Florian...

Le lendemain après-midi. Impatiente de se qu'il allait me déclarer, je supplie de toute mes force mon clone, Camille, pour qu'elle vienne avec moi. Qui cette dernière est une incroyable flemmarde. Ce pendant j'arrive à la faire cédé et nous partons au gymnase où nous apercevons au loin, L'apollon est un autre jeune garçon sûrement du même age que Yann,. Néanmoins, en m'approchant un peux plus, j'aperçois que c'est James, un vieille ami, qui habite juste le bâtiment a coté. C'est un garçon adorable, il est excessivement grand, les yeux et les cheveux châtain. Nous nous approchons d'eux, leur quémandons une cigarette et parlons avec eux.

Yann me jette des coups d'œil insistant. Alors je bloque mon regard dans ses yeux émeraudes. Il bloque et me fait un signe de la tête m'indiquant de venir, j'acquiesce et le suis a coté du bahut où il y a un garage.

« - Qui y a-t-il de si important ? Je demande hésitante.

- Et bien, c'est compliquer a dire tu sais...

- Ne t'inquiète pas, je ne te jugerais pas.

- Je deal... Je vends de la drogue. Je travaille pour quelqu'un et je suis obliger d'y travaillais à vie. »

Un silence assourdissant s'installe. Je suis choquer, non pas qu'il vende, mais qu'il y soit obliger, je comprends pas.

« - Comment ça ? Comment ça tu y est obliger !? Commençais-je à crier.

- Commence pas à crier s'il te plaît ! Je ne peux plus revenir en arrière ! C'est mort ! Si je me désiste, je suis foutu ! Tu comprends ! F-O-U-T-U ! Ainsi que toi, et ma famille. Il crit agacer.

- Que viens-je faire dans l'histoire moi ?! Le questionnais-je en criant plus fort.

- Parce que... Parce que... Tu es devenue une personne trop importante a mes yeux ! Tu vois ! En si pe de temps t'es devenue une partie de ma vie, putain, ouais de ma vie ! »

Je m'écarte de lui, le regardant toujours dans les yeux espérant trouver une étincelle de mensonges. Mais non, il a l'air bel et bien sérieux. Je m'approche de lui, mon regard toujours accrocher au sien, je passe ma main derrière sa nuque, puis caresse ses cheveux, j'observe toutes les parties de son visage, cherchant la moindre imperfection. J'hésite à goûter ses lèvres, qui m'ont l'air si sucrées...

« - Embrasse-moi. » Me dit-il d'un voix calme et basse.

Je n'eus même pas le temps de m'approcher de sa tête qu'il avait déjà mis ses mains autours de ma taille, il ramène mon corps au sien, où mes mains atterrissent sur son torse. Je sens son souffle sur mon visage, la tentation devient trop forte. Je mets mes mains de pars et d'autre de son visage et l'embrasse passionnément. C'est lèvres ont exactement le goût que j'imaginais, sa peau mâte est si douce, il sent tellement bon, pourquoi suis-je comme ça avec lui. Il est tellement différent. Une fois notre embrassade terminer, il me regarde le sourire aux lèvres, me tends la main que j'attrape immédiatement et partons regagner nos amis qui ont l'air d'être en plein dans une conversation extrêmement passionnante.

« - Vous parlez de quoi ? Lançais-je.

- Des personnes comme vous, qui laisse tomber leurs amis pour aller discutais, ou encore autre chose. Rétorque-t-elle, me jetant un clin d'œil.

- Il fallait qu'on discute. » Dis-je le sourire au lèvres.

La blondinette me tire par le bras vers le gymnase, criant au deux jeunes hommes « Bisous les gars, on doit y aller. ». Ils se mirent à rire.

Camille m'a poser des tas de questions sur ce qu'il s'était passer avec le beau brun. Ainsi qu'elle me posa la question fatal « êtes-vous ensemble ? », moi même je ne connais pas la réponse.

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#Bisoos Maë