Chapitre 7 : Run.

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Trois Jours sont passé, et la tension entre moi est ma génitrice esttoujours aussi forte. Aujourd'hui, il pleut des cordes ! Ma mère est partie faire je ne sais quoi, et Jonna, est au travail.

Monaîné, m'a enfin pardonné, sans me demander d'explication.


J'aidonc décidé d'invité mon Clone, ainsi que Scott. Nous nousinstallons dans le salon et mes amis ont apporté, comme ils lesurnomment si bien '' Le kit de survie''. Ce ''kit'' consiste àavoir des kebabs, du chocolat, des clopes, ainsi que le film zombiland, qui est un chef-d'œuvre.


Nousnous mettons confortablement, et commençons à déguster nosdélicieux Kebabs, une fois cela finis, je pars chercher le cendrier.Parce que Jonna m'a fait plusieurs fois la remarque comme quoi ilavait retrouvé de la cendre dans l'appartement, et que ce n'étaitpas propre.  Nous fumons, toute l'après-midi. On mange duchocolat, fume, mange, fume, fume et encore fume. Au final deuxpaquets sont partis en fumées.


Versdix-huit heure, j'entends la serrure grincer, ne m'inquiétant pasque ce soit mon tuteur, je n'y prête pas attention. Jusqu'à ce quej'y découvre ma mère. Quand elle nous vit, ces yeux s'écarquille,puis passe du cendrier à nous, nous au cendrier pendants une bonneminute.

« -  Sortez d'ici s'il vous plaît ! » Dit-elle d'un tonimposant.


Mesamis obéirent sans protester, me jetant un regard désolé.

Jene fais que rouler mes yeux.


« - Pourquoi tu fais ça ? Demandais-je agacée.


-Ici c'est pas la maison du quartier ! Cri-t-elle.


-Mais tu te prends pour qui, toi ? Ce sont mes amis, et si tupense que ton opinion m'intéresse, et bien tu fais fausse routeM-A-M-A-N !


-C'est quoi ton problème ! Tu ne fou rien de t'es journée !A l'école t'as des mauvaises notes. Tu fume ! Tu n'es qu'unemoins que rien, une foutu délinquante. Toujours avec des garçons,tu n'es qu'une putin !


-J'en est rien à foutre de ce que tu penses ! C'est moi la puteici ? Mais moi, je couche pas dans l'appartement de mon fils !Moi, je ne suis pas irrespectueuse à la mort d'un être chère àmes enfants ! N'est ce pas ? Tu n'es qu'une salopeirresponsable ! »


Aumême moment, sont point heurte ma joue, et j'attéris au sol. Lescoups deviennent de plus en plus fort, je sens que du sang sort de mabouche. Je n'arrive plus à bouger, mes membres sont lourd. Je sensque je fais faillite. Mes yeux se ferment clos. Mais soudainement,une image de mon père apparaît.  J'ai l'impression qu'ilm'encourage à me débattre. Mes yeux s'ouvrent automatiquement,apercevant ma génitrice en crise d'hystérie. Je me relève, tantbien que mal, me protégeant au plus que je peux. Je la poussebrutalement contre le mur, ouvre la porte et la referme d'aussi tôt,laissant cette pourriture enfermée dans son propre enfer, lamaladie. Je descends les escaliers le plus vite possible, ouvrant laporte du hall, j'aperçois cette pluie, s'acharnant sur le sol.


Lefroid parcours mon corps dès le moment où cette averse caresse mapeau. Je me mets à courir. Ne sachant même pas où aller, je coursseulement, de toute mes forces. Est-ce les larmes qui m'empêche devoir ou le déluge ? Je ne saurais dire.


Jene peux plus courir, toute mes forces disparaisse, je deviens sifaible d'un coup. Mes pleurs sont de plus en plus fort, marespiration est autant accéléré que mon poux.  J'aperçois unbanc, protégeant les passants de la tempête. Mais personne ne vients'asseoir ici lors d'une averse.


Avachie,sur le banc couleur acajou par la pluie, qui porte les émotions desgens en tant que fardeaux, chaque jour.


Jen'arrive pas à chasser ses horreurs de ma tête, de ses coupsqu'elle m'aurait donné sans relâche.


HUF.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant