Quotidien

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Chaque les soirs c'est la même connerie

Les pensées refoulées pendant la journée refont surface d'un coup d'un seul

Le stress monte, mon coeur bat des records de vitesse

Mon corps de m'appartiens plus

Tout ca à cause de ces putain de pensées

Que je ne contrôle même pas

J'essaie toujours de reprendre mon souffle entre deux spasmes douloureux

Mais vient des pics, comme si on essayait de d'arracher le coeur de ma poitrine

Ne pas lacher , pour elle plus que pour moi 

Le souffle court je continue inlassablement lassé 

Pour repousser l'heure de ma mort

Puis arrive le moment où j'ai la tête qui tourne

Sans bouger, j'ai l' impression d'être dans un manège à sensations

Je n'ai plus aucun repère comme une chute infinie 

Tout ca peux durer des heures comme quelques secondes

Ces pensées noires ont pris l'habitude de ruiner toutes mes nuits

Et tout ca du lundi au samedi tout le long du mois 


Car le dimanche est bien pire

Quelques poèmes en français Où les histoires vivent. Découvrez maintenant