Chaque les soirs c'est la même connerie
Les pensées refoulées pendant la journée refont surface d'un coup d'un seul
Le stress monte, mon coeur bat des records de vitesse
Mon corps de m'appartiens plus
Tout ca à cause de ces putain de pensées
Que je ne contrôle même pas
J'essaie toujours de reprendre mon souffle entre deux spasmes douloureux
Mais vient des pics, comme si on essayait de d'arracher le coeur de ma poitrine
Ne pas lacher , pour elle plus que pour moi
Le souffle court je continue inlassablement lassé
Pour repousser l'heure de ma mort
Puis arrive le moment où j'ai la tête qui tourne
Sans bouger, j'ai l' impression d'être dans un manège à sensations
Je n'ai plus aucun repère comme une chute infinie
Tout ca peux durer des heures comme quelques secondes
Ces pensées noires ont pris l'habitude de ruiner toutes mes nuits
Et tout ca du lundi au samedi tout le long du mois
Car le dimanche est bien pire