Chapitre 3

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Une belle avalanche

La matinée débutait sous des regards profonds et absolu des amoureux, comme ils étaient pour la première fois, couché dans la même berceau, ils avaient les cœurs trempés de tendresse et d'amour.

Il était 6h00 du matin, la rosé faisait sillonné les feuillages et le soleil restait toujours caché derrière les montagnes, mais sa clarté avait donnée du goût au réveil ; des oiseaux gribouillaient, et on entendait des coqs chantés dans les bergeries... Cocorico ! Cocorico !

Le jeune homme regardait tardivement sa copine qui avait le visage brillant et admirable dans son lit portant deux oreillers qu'il avait tiré de l’armoire de sa mère, la beauté seule de Salimaha en pouvait dire tout sur sa qualité. Il lui caressa son doux visage, lui baisa tardivement sur le front. Il caressa ses cheveux dormants qui étaient pliés sur l'oreiller et lui faisait des petit baisers sur les épaules nu qui étaient hors de la couverture du drap neuf qu'il avait mis à sa disposition pour se protéger contre le froid.

Si je pouvais compter chaque brins de tes cheveux, je t'aurais baiser une par une, tes chevelures. Ajouta Danylan; Si tu arrives toi même à le faire, peut-être que tu en découvriras combien je voudrais te baiser dans mon lit. Chuchota t-il à l'oreille de sa copine dormante, qui ouvrit doucement ses paupières après ces mots qui ont percé ses tendons. Elle respirait profondément, l'air frais qui circulait par la fenêtre qui dormait au-dessus de leur lit, elle résistait aux paroles qui venaient de son copain, mais, elle se rappelait que les douces phrases viennent au plus profond du cœur.

Par dessus de cela, Danylan lisait la couleur rutilant des yeux de sa future conjointe, car il le voulait à chaque fois qu'il l'avait imaginé ; il prenait tout son temps à admirer la couleur pourpre de teint de sa copine, malgré les cheveux noir étincelant, il ne pouvait que faire la comparaison avec de la foudre d'or cramoisie.

est-ce que... tu n'as jamais pensé à nous marier Dan ? Demanda la jeune fille de sa voix fine, aux cils éparpillées. Je pense que c'est une très bonne voie à prendre pour bâtir un vrai foyer. Tu ne penses pas ?

c'est une question que je me suis posé à chaque regard, chaque attention que je voudrais te donner, mais cela reste encore un calcul dans ma mémoire. D’ailleurs, ton père n'accepterait pas s'il sait que je n'ai pas un très grand boulot, faire de la peinture d'automobile c'est presque nul comme métier. Avait-il répondu en regardant Salimaha fixement, sous les cils surélevé.

Comme la rosée qui pleuvait du sucre sur les plantes, la jeune Salimaha se pliait sous la caresse de son copain, qui lui souriait tendrement.

tu sais Dany, je n'ai pas à plaire à personne, chacun son choix, son goût et son propre cœur, cela ne signifiait à rien si jamais j'avais aimé quelqu'un juste pour plaire aux gens, et mes parents aussi ne peuvent pas nous bloqué, déjà auprès de toi, je trouve autant de chaleur pour me réchauffer, pourquoi devrais-je accepter tout ça si je dois te laisser à cause mes parents ? Ne te laisse pas conquérir par le doute, seulement, aime moi et fais moi l'amour comme si demain n'existait jamais. Marmotte la jeune fille qui n'avait plus la force de résistée à ce moment.

j'ai entendu ta voix, et de loin, je commence à comprendre que les guerres nous ont appris à s'aimer plus fort chaque jour, j'ai tenu ma morale dans toutes ses raisons là, et bientôt tu découvriras ce que j'ai du plus profond de mon cœur.

Comme le soleil tardait à se lever, une faille de sommeil emporta Salimaha qui se pliait corps à corps à son copain ; Danylan se leva après une dizaines de minutes et glissa dans la chambre de sa mère.

Oh lala ! Tu... Tu es là mon fils ! Je n'ai presque pas dormi tu sais, mais les médicaments commencent à me soulager, je ne crois pas que je vais rester au lit aujourd'hui, ah ! J'ai tellement de choses à faire ! Marmonna Hélène, elle était fatiguée d'avoir vu ses jours dans son lit, d'ailleurs je n'ai pas d'infirmité ; avait-elle reprit. Elle était enveloppée de drap qu'elle utilisait souvent de fois, tenant le bras droit de son fils qui s'était appuyé contre son oreiller.

maam ! Il ne faut pas t'inquiéter, tu sais que je suis en mesure de faire quelques choses, tu dois te laisser du temps pour te reprendre. Répondit-il calmement.

mais.. Qu'elle est cette bonne infirmière qui t'as prescrit ces bons médicaments ? J'ai lu les prescriptions et il n'y a pas ces médicaments dans toutes les pharmacie de la ville.

ah oui ! Cette personne, je crois que tu la reconnais, elle travail à l'hôpital Camejo sur la voie du sud à quelques kilomètres de la zone. Reprit le jeune Dalylan qui voulait avouer en quelque sorte la bonté de sa copine.

et cette personne, est-ce une fille ? Ou l'un de tes amis ? Interrogea sa mère, soulevant ses sourcils, elle avait le caractère pâle, c'est-à-dire, qu'elle appréciait tout le monde mais, elle avait toujours à se méfier de certaines personnes qui parfois, veulent lui ôter tout ce qu'elle avait comme héritage. Tout le mon appréciaient sa qualité, car, elle n'a pas à attendre quand quelqu'un lui demande pour donner, elle aime aussi faire des histoires pour pouvoir réveiller la joie dans le cœur des gens, mais, elle n'a jamais voulue que certaines sachent qu'elle était malade, de ce fait, elle s'en doutait, d'ailleurs, Elle était toujours sans gêne et résignée malgré tout ce qu'elle avait vécu depuis la disparition de son mari, il y a quelques années de cela..

Elle ne pouvait pas se avoir ce qu'elle avait tant voulue depuis cet événement à cause de sa froideur et son plus grand défaut, on lui répétait souvent qu'elle était trop docile et qu'elle n'arriverait jamais à avoir bonnes informations qu'elle voulait sur la disparition du père de son fils, qui lui était toujours inquiet et certaines fois gêné de tout ça.

À ce moment-là, Salimaha, s'était déjà réveiller à l’absence de son copain, mais ne s'était pas dérangée à cause de cela, parce qu'elle savait que la mère de Danylan avait besoin de sa présence ; elle quitta le lit, alla vers le miroir de la coiffeuse pour regarder ses cheveux, elle les gratta et lâcha un soupir : humm ! Gémit-elle. Elle quitta la chambre à la recherche de la douche, mais, oups ! Quand on n'est pas habitué, on pourrait s'atterrir au milieu de nulle part, et elle ne l'avait pas imaginé ; Elle songea les roses, mais ne pouvait guère trouver l'endroit idéal pour en retrouvée les chambre.

mais.. Qu'est-ce que.. ? Cria la mère de Dan, voyant l'ombre s'approcher. Ah ! C'est une femme ! Mais Qui est cette jeune femme ? Je ne savais pas que tu emmenais des jeunes filles chez moi ! S'exclama Hélène, ayant surprise par Salimaha qui s'était tomber tout droit dans la chambre où ils conversaient calmement.

Danylan regardait de loin quand arriva Salimaha, il était très surpris de cet accident, il se mettait dans le pétrin, avait-il réfléchit ; Étonné, il fallait quand même avouer la vérité...

L'épouse ÉcarlateOù les histoires vivent. Découvrez maintenant