chapitre 1 : le Départ

142 3 0
                                    

Date : 24 janvier 2023 

lieu :base navale de Yokosuka japon  

mission : patrouille en mer de Chine 


L'équipage du Charles de Gaulle se prépare actuellement à une mission de patrouille en mer de Chine méridionale, dans le cadre d'une coopération avec la flotte d'autodéfense japonaise. Cependant, les navires japonais censés accompagner le Charles de Gaulle sont bloqués à la base navale de Sasebo. Le commandant Henri de la Fontaine, informé de cette absence, convoque rapidement son état-major pour ajuster la stratégie de la mission. Après avoir évalué les options disponibles, il décide de poursuivre la mission avec les ressources à bord du Charles de Gaulle.

Le commandant ordonne à son équipage de se préparer immédiatement pour partir vers la mer de Chine méridionale. Les marins prennent toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité du navire et de l'équipage, en vérifiant les systèmes de navigation, les communications et les armements.

Le Charles de Gaulle lève l'ancre et se dirige vers la mer de Chine méridionale pour mener à bien sa mission de patrouille. Le commandant de la Fontaine explique à son équipage l'importance de cette mission pour maintenir la paix et la stabilité dans la région, et insiste sur la nécessité de rester professionnels et vigilants.

Pour préparer son équipage aux risques potentiels de la mission, Henri prévoit des exercices aériens pour tester leur capacité à réagir en situation d'urgence. Il anticipe que les navires japonais ne pourront pas les accompagner et organise des manœuvres avec les avions de chasse Rafale une fois en mer. Les pilotes effectuent des vols en formation, des simulations d'attaques et de défense aérienne, et testent la coordination avec les équipages du navire.

Les résultats des exercices satisfont Henri, qui constate la grande compétence et la réactivité de son équipage. Cependant, un pilote de Rafale, François Dijoux, décide de faire une manœuvre d'acrobatie sans en informer le commandant ou les autres pilotes, provoquant un moment de panique à bord. Henri interrompt immédiatement l'exercice et convoque le pilote pour une explication.

"Toc toc toc."

Henri : Entrez.

François : Merci, mon commandant.

Henri : Votre nom ?

François : Dijoux François.

Henri : Bonjour, Dijoux François. Pouvez-vous m'expliquer pourquoi vous avez effectué cette manœuvre d'acrobatie sans en informer le commandant ou les autres pilotes ?

François : Je suis désolé, mon commandant. J'ai cru que cette manœuvre était sans danger et qu'elle ne mettrait pas en danger l'équipage ou le navire. Je voulais juste tester les capacités de mon Rafale et montrer mes compétences en vol. Je comprends maintenant que j'ai agi de manière irresponsable et que j'ai mis en danger tout le monde à bord.

Henri : Je suis soulagé de voir que vous avez compris la gravité de votre acte. Cependant, je ne peux pas tolérer un tel comportement dans mon équipage. Les règles de sécurité sont là pour protéger tout le monde à bord, et vous avez mis en danger non seulement vous-même, mais également vos collègues et notre navire. Vous comprenez que des conséquences disciplinaires peuvent être prises ?

François : Oui, mon commandant. Je suis prêt à assumer les conséquences de mes actes et à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour regagner votre confiance et celle de mes collègues.

Henri : Je vous remercie pour votre honnêteté et votre volonté de réparer vos erreurs. Cependant, vous devez comprendre que la sécurité de l'équipage et du navire est la priorité absolue, et qu'aucun comportement irresponsable ne sera toléré à bord du Charles de Gaulle. Nous allons maintenant prendre les mesures nécessaires pour que cela ne se reproduise plus à l'avenir. Mon ami.

François : Mon ami ?

Henri : Oui, ça fait des années qu'on ne s'est pas vus. Nous avons grandi ensemble à l'orphelinat de Brest.

François : Oh, je ne savais pas que c'était vous, mon commandant. C'est une belle surprise de vous revoir après toutes ces années.

Henri : Oui, le monde est petit. Je suis content de voir que vous avez trouvé votre voie dans l'armée de l'air et que vous êtes devenu un excellent pilote. Cependant, comme je l'ai déjà dit, nous devons tous rester vigilants et responsables à bord du navire pour assurer la sécurité de l'équipage et du navire.

François : Oui, mon commandant. Je comprends l'importance de la sécurité à bord du Charles de Gaulle et je m'engage à respecter toutes les règles et procédures en vigueur.

Henri : Très bien, François. Je compte sur vous pour donner le bon exemple à vos collègues et pour maintenir un comportement professionnel et responsable à tout moment. Maintenant, retournez à vos fonctions et assurez-vous que votre avion est prêt pour la prochaine mission.

François : Merci, mon commandant. Je ne vous décevrai pas.

Alors que le R91 navigue tranquillement, un phénomène météorologique s'approche. Le commandant en second, Lucas, informe Henri qu'une tempête s'approche et qu'ils seront obligés de la traverser.

Lucas : Mon commandant, j'ai une information importante. Nous avons détecté une tempête qui se dirige vers nous et nous allons être obligés de la traverser.

Henri : Quelle est la force de la tempête et quand va-t-elle nous frapper ?

Lucas : Selon les dernières statistiques météorologiques, la tempête devrait être de force 8 sur l'échelle de Beaufort et elle devrait nous frapper dans environ 6 heures.

Henri : Prévenez immédiatement tous les membres de l'équipage de se préparer à la tempête et de sécuriser tout ce qui peut être détaché ou endommagé par les vents forts. Faites en sorte que tous les équipements de sécurité soient en état de fonctionnement optimal et que tout le monde soit informé des procédures à suivre en cas d'urgence.

Lucas : Bien compris, mon commandant. Je vais donner ces instructions immédiatement et m'assurer que tout le monde est prêt avant l'arrivée de la tempête.

Henri : Nous devons être prêts à affronter cette tempête et à assurer la sécurité de l'équipage et du navire. Merci pour votre vigilance, Lucas.

Henri et Lucas sont pris au dépourvu par le phénomène soudain qui les engloutit. Tout devient noir et ils ont l'impression de tomber dans un gouffre sans fin. Après un moment qui leur paraît une éternité, ils reprennent conscience, secoués mais en vie.

Henri : Lucas, vous allez bien ?

Lucas : Oui, mon commandant. Et vous ?

Henri : Je vais bien aussi. Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Où sommes-nous ?

Lucas : Je ne sais pas, mon commandant. Nous avons été engloutis par un tourbillon étrange et maintenant nous sommes... ailleurs.

Henri : Ailleurs ? Qu'est-ce que vous voulez dire ?

Lucas : Regardez autour de vous, mon commandant.

Henri se lève difficilement et observe leur environnement. Ils découvrent une mer calme, sans pollution.

Henri : C'est impossible. Comment sommes-nous arrivés ici ? Est-ce une mer inconnue ? Un autre monde ?

Lucas : Je n'en ai aucune idée, mon commandant. Mais nous devons rester prudents et ne pas baisser notre garde. Nous ne savons pas ce qui nous attend ici.

Henri : Vous avez raison, Lucas. Nous devons d'abord nous assurer que tous les membres de l'équipage sont sains et saufs et ensuite trouver un moyen de rentrer chez nous. Nous ne pouvons pas rester coincés ici indéfiniment.

fin de notre chapitre 1 mercis d'avoir lue . 

Le porte-avion Charles de Gaulle à Azur Lane (Nouvelle version)Where stories live. Discover now