Titre Provisoire [ Roadtrep d'un Sacrifier]

La présélection de Keto Kungurat.

— C'est terrible, c'est affreux.

— Quoi donc ? Demanda Olivier presque malgré lui.

— J'ai froid de partout.

— Ah ça....

— Et lorsque que Loriane ouvre ça bouche, ça sens mauvais dans l'air.

— Si je sors vivante de cette histoire je le tue.

— Je me gèle les couilles ce soir !

— LA FERME !!
— LA FERME !!
Une fois monté sur le ponton ils avaient été dévêtue avec pour seul droit de garder leurs sous vêtements. Les froids s'étaient emparé d'eux tel un monstre suceur de sang. Une ideuse sanceux à l'apparence inimaginable. 

Le bateau n'était pas grand non .... Il était gargantuesque. À lui seul il pouvait rivaliser avec le majestueux Titanic et le plus grand de nos paquebot réuni.  C'était un trois mât assez semblables aux négrier de naguère, mais le mat principal faisait la taille d'un chaîne honorable d'un demi siècle, l'envergure des voiles pouvaient couvrir une petite maison.  Et sa beauté... Incommensurable. Tout de fioritures d'ors d'argents et de bronzes. C'était un bijou d'ingénierie.  Mais cela n'expliquait en rien sa vitesse, qui dépassait tout ce que les humains pouvaient faire de mieux en ce bas monde.  Des dizaines et dizaines d'esclavagistes se tenaient là tous vêtu de noir. Ils allaient et venaient. Observant les captifs qui ce comptaient en millier, provenant du monde entier.

Étaient-ils vraiment des esclavagistes, car de ce qu'ils avaient lu et entendu ils ne se comportaient pas en tant que tel, pas de coup de fouet, pas d'insultes et injures, à la vérité, s'était comme si ils n'existaient pas à leur yeux. 
On est du bétail .
Compris le garçon.  Du foutue bétail et rien d'autre. Si il avait été plus sensible il en aurait pleuré.  Et il en aurait presque béni son oncle d'avoir été si cruel et immoral avec lui.  Car pour le moment il le vivait mieux que la plupart des être humains réuni. Des occidentaux, remarqua-t'il.  La plupart des occidentaux geignaient et pleuraient. Ceux qui n'avaient jamais connu le grand froid de leur vie, tremblaient comme des feuilles.

Le plus dur  était de voir les enfants qui hurlaient a s'en déchirer les poumons.  Au moins tout le monde était logé a la même enseigne ici. Pas de différence d'ethnie ou religieuse.  Un garçon qui se trouvait prêt d'eux hurlait à  qui voulait bien l'entendre que tout ceci était honteux. Qu'ils payerons pour tout cela et tout un tas de fantasmes irréalisables. Il avait de long cheveux bleus, du rouge à lèvres et de long cils. Il avait une musculature digne d'un terrifiant salsifis et avait l'air d'avoir été nourri toute sa vie au flocon d'avoine.

Iddy eut une grimace de dégoût en le voyant et alors qu'il allait ouvrir sa bouche, Loriane lui marcha malencontreusement sur le pied.  Olivier se contenta de sourire. Ce qu'il en pensait lui .... À vrai dire ces gens là n'avait jamais existé aux yeux de son oncle et par conséquent à ses yeux non plus, pour dire vrai à la réflexion.  S'était comme si son oncle et lui s'étaient arrêté dans le temps. Une époque lointaine se situant à peu de choses prêt entre l'âge du bronze et celui du fer. Si bien qu'Olivier n'avait jamais pris cela au sérieux, les considérant comme de gentil agitateur ne voulant qu'attirer l'attention.  Ils ne les détestait pas, mais ne les appréciait pas non plus.

Sa détournant de ce navrant spectacle tout en se dodinent, les chaînes leurs ayant été enlevé juste le temps qu'ils se déshabillent, il se rapprocha de la rambarde la plus proche, cela lui pris plusieurs minutes temps le bateau était grand.

— Plein sud hein ! Murmura Didi qui l'avait suivi quelques secondes plus tard.
Olivier l'observa à la dérobé, ses longs cheveux bruns et ondulé, flottaient au vent tel une bannière claquant au vent.
Seul son nez légèrement recourbé restait campé sur ses positions. Mais même en sous-vêtements et enchaîné, il dégageaient de ce garçon une certaine noblesse et un certain charisme.
Avant d'être captif en témoignait son corps.