Palpitante existence.

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Et encore un, un de plus qui se volatilise, décidément ils se sont tous passé le mots ma parole.
Songea l'adolescent en lisant par-dessus l'épaule de ....

— Dégage de la nabot !
Nabot, il est plutôt de bonne humeur.
Songea-t-il tout en prenant le soins de dégarpir sans au préalablement omettre de subtiliser un cookie posé là sur la table de salon à côté de ses gros pieds sentant le phoque en fin de vie.

Ne prêtent aucunement attention au imprécations de son ... Pfff ... Oncle... Responsable, tuteur ? Olivier grimpa quatre à quatre les marches le menant dans un couloir où il pouvait être sur de savourer le fruit de son larcin en toute impunité et si jamais, la porte de sa chambre était juste à côté de toute manière.

Olivier, Olivier Bonier, quel non ridicule, pour un garçon ridicule. Un non de blanc donné un nègre, ne cessait de lui répéter son oncle à chaque fois qu'il avait bu plus que de raison. Ce qui arrivait à peu près chaque semaine, pour ne pas dire tout les deux jours, en faite depuis que le père adoptif du garçon et sa mère avaient disparu il y avaient de cela dix ans. Comme beaucoup d'autres et ceux dans le monde entier.

Depuis tout temps des gens disparaissaient par vague successives à travers le monde. Ont les appelaient les Condamnés. Un cercle rouge ensanglanté apparaissait sur le bras droit de la victime et un des leurs venaient les chercher dans les jours qui suivaient. Qui ? On ne savait pas. Pour quel raison ? Encore moins. Et rien de tout ce qu'avait put imaginer l'être humain ne pouvait apporter de réponse convaincante.

Autre fois divinisé on sacrifiait des jeunes vierges pour espérer calmer leurs courroux. Pourquoi toujours sacrifier de jeunes vierges, allez savoir, tout ce que l'on pouvait dire était que les anciens pensaient réellement que cela pouvait marcher. Déjà que l'on sacrifiait jeunes filles, et jeunes garçons chaque fois que le soleil avait décidé de poser un rtt où que la pluie montait son syndicat pour ne plus faire son devoir, faire tomber la pluie, si l'on ajoutait en plus les sacrifices pour calmer ces étranges créatures, être une fille dans les temps anciens devaient être fortement désagréables.

Certaines civilisation pensèrent que c'étaient des être venue du ciel et les nommèrent Anunakis à noter que nous les nommions encore ainsi à défaut de mieux car personne n'ayant vu de prêt ces créatures. Les seuls personnes les ayants vu ne pouvant plus témoigner, pour faute, c'étaient les Condamnés.

Puis plus rien; ces étranges êtres tombèrent dans l'oublie, les civilisations de l'âge du bronze et du fer tombèrent vite dans les affres du temps avec l'émergence de grandes cités états voraces, forment par la suite les empires de l'antiquité que nous connaissions tous. Rome, l'Égypte antique, les royaumes du milieu, les cités grecques, les perses....
Les divinités de la préhistoire ainsi que ces légendes laissèrent vite place aux divinité nouvelle, tel que Thot, Apophis, Orus, Mars, Jupiter, Neptune, Cupidon, Ades et nous nous en arrêterons là tant la liste est longue.

Une croyance persistera du moins. Une coutume chez les peuples les moins évolué ou jugé inférieur par les civilisations plus puissante. Les Celtes chez les romains, les nomades et les mongols chez les habitants du milieu, les tribus sauvages reculés de la lointaine Egypte... Cette croyance était la suivante. Un dieu maléfique reviendra un jour parmi les mortelles et il enlèvera à nouveau les enfants des Hommes jusqu'à se qu'il n'en reste plus un seul. Son nom ? Il n'avait pas de nom mais on oubliait pas chaque lune de sang, de lui sacrifier une vierge, oui encore, pour contenter ce Dieu primitif.

Puis les trois religions monothéistes déferlèrent sur l'ensemble du monde connu, raz-de-marée ils emportèrent toutes les anciennes croyances même celles qui avaient survécu tant bien que mal à l'antiquité, bien que l'on chuchotait encore que dans les campagnes les plus reculé d'Armorique, dans les montagnes du Maroc ou les forêt les plus obscure de l'Afrique subsaharienne s'entendaient parfois au plus sombre de la nuit, des quantiques étranges et dans des langues oublié de l'Homme.

Titre Provisoire [ Roadtrep d'un Sacrifier] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant