Titre Provisoire [ Roadtrep d'un Sacrifier]

Traversé [2]

— Je trouve que c'est du gaspillage.  Toute cette marchandise qui nous passent sous les yeux . Alors que l'on pourrait en retirer tellement d'argents.  Regarde moi cette chose Célia et ose me dire que l'on pourrait pas en faire quelque chose de plus distrayant ?

— Je suis parfaitement d'accord avec vous Keto Lenny à la condition que les mâles servent aussi à la même chose.

Dans une salle plutôt sombre une jeune femme nue en pleure muni d'un collier se retrouvaient sous le regard examinateurs des deux jeunes gens.  Tout deux portaient des vêtements noires amples bien que ceux du garçon soit rehaussé de files d'or, c'étaient des habits pour se déplacer en toute discrétion et si besoin est, combattre.  Le garçon était plutôt avenant avec ses yeux ambrés ses cheveux roux tirant vers le rouge. Il avait des lèvres très charnu pour un garçon et une dentition parfaitement blanche.  La fille elle, était une beauté; de long cheveux bruns  avec des éclats violacés 

La fille s'approcha de l'humaine lui palpa tout le corps. Puis là força à ouvrir sa bouche et lui sorti la langue.  Cette dernière s'étouffa tanta de se débattre  mais la force de l'inconnu dépassait tout ce  qu'elle aurait put imaginer.

— Elle a une bonne langue, elle ferait le travail aussi bien qu'un mâle je pense. 

— Celia, lâche cette serf, si elle meurt, ça fera un troue dans les registres et c'est moi qui les tiens.

— Keto.... Fit Célia en lâchant enfin la langue de l'animal qui mit ses mains au tour de sa gorge en toussant.
Puis elle se pencha pour examiner l'entre jambe de la créature. 
Je vois rien d'attirant la dedans. Elle toucha, en plus c'est visqueux.

Lenny ricana.

— Il y a rien de plus beau sur terre cependant.

— Je préfère une bonne vieille queue rien de meilleur.

— La mienne ?

— Entre tout autre chose oui, Keto Lenny.

— Aaah, tu passe à côté de quelque chose, un con rien de meilleur.

— Le mien ?

— Surtout le tien. Ton vagin a une saveur exquise.
La fille sourit.

— On pourrait....

— Pas ici, surtout pas en sa présence.

Les deux jeunes gens reporterent leur regard sur la serf.  Lenny s'approcha et lui palpa les seins en retour, perdu dans ses pensées il resta là de nombreuses secondes.

— Tu imagines tout l'argent que cela pourrait rapporter à notre royaume à mon clan , à nos clans ? Si ont rendaient à ces serfs le rôle qu'ils avaient avant. On les élèveraient dans nos propres fermes, au lieu de les chercher ici.  Ils redeviendrons nos esclaves et nous pourrions nous reconcentrer sur nos loisir pendant qu'ils font tout à notre place. Et puis le tarif excessivement chaire de nos putains , sera réduit de moitié, voir plus.  La belle vie, comme le vivaient nos grands-parents et leurs parents avant eux. 

Célia ne répondit rien et palpa les fesses de la  serf. Puis elle y planta ses ongles le sang dégoulina. La serf  hurla.

— La réouverture de nos centres d'élevages ? Un rêve qui anime nos parents depuis des siècles. Et dire que nos anciens les mangeaient. Sa devait être fort goûteux. Un de nos roi a bien gardé des fermes jusqu'à ce que la colère de Dieu s'abatte sur lui il y a à peu près quinze ans.

— Il n'avait pas gardé de fermes, c'était un maison de loisir, la dernière en activité. Ont pouvaient y voir des serfs s'entre tuer et baiser des putains pratiquement gratuitement. Bon d'accord pour cela il fallait des humains, mais tout le monde fermaient les yeux. En quoi était-ce si grave ? Ce ne sont que des animaux. Des gens venaient de tout les royaume, en ce lieu les rivalités de clan n'avaient lieu d'être.